Etang de Verchat : le retour

Aujourd’hui les troupes étaient partagées. Le week-end offrait les plus belles conditions de ski de tout l’hiver, les skateurs, qui ont débuté tardivement la saison, profitèrent donc de l’aubaine. Les autres, au nombre de 10, se retrouvèrent au rendez vous hebdomadaire : Franck, Eric, Daniel, Claude L, Cédric, Olivier, Xavier, Patrick, Philippe et Chantal. La bise souffle et la température avoisine zéro, on a même vu quelques flocons ce matin. On s’attend aussi à trouver un sol boueux…. alors, on va de quel côté ? Les associations d’idées finiront par nous montrer la voie : ce week-end c’est ouverture de la pêche. Pêche = David = on irait bien à l’étang de Verchat ? Nous voici donc en route pour découvrir les cabanes sur l’eau et dans les arbres. Quelques passages boueux comme attendu.

Arrivés sur place nous faisons une visite des lieux (voir photo). Constructions originales, chambres sphérique pendues dans le vide qui font rêver certains. Tour de l’étang qui finit par un portage du vélo sur un sol qui s’enfonce sous les roues. Même le plus léger du groupe (le jeune Claude L) manque de rester pris …
Partage du groupe qui voit partir 4 d’entre eux décidés de rentrer par la route. Direction Grandvillars pour les 6 autres qui, à la sortie du village aperçoivent… le groupe de 4 sur la route. Direction la forêt où de chemins en sentiers (des bornes) nous arrivâmes à Fesches le Chatel. Nous regagnons la vélo route et passons au pied de l’imposante rampe en chemin blanc. « Avec Gaël on passe par là ! ». Bon, alors on y va. Franck nous fait traverser la forêt sur un sol étonnamment sec jusqu’au GR5. La sortie touche à sa fin, les dampierrois rentrent à Dampierre et les beaucourtois, vandoncourtois, mézirérois, rentrent chacun chez soi.
35km – 553m deniv +.

étang de Verchat 20160313

6 mars : soubresaut de l’hiver

L’hiver a mordu le mois de mars : non, mais, il n’allait pas partir sans dire son dernier mot, d’autant plus qu’il n’a pas beaucoup parlé ces derniers mois… Nous étions 6 : Bruno, Lionel, Pascal, Claude, Philippe et moi (Chantal) au rendez-vous frontalier. Direction : le Mont Grosin (Mont Soleil), à 1200m d’altitude, où nos voisins les helvètes nous promettent 40 cm de fraiche ! Et bien oui, ils n’ont pas menti. Les pistes sont fraichement damées et nous sommes les premiers sur le parking.
Le danger, en ski, vient des autres… Pascal (le malin) se retourne et paf ! tape avec se skis dans le front de Notre Président : le voilà blessé (voir photo). Puis, à peine partis, Lionel tombe, et paf ! il casse son bâton en carbone ultra léger. Il fait demi tour car le prévoyant Lionel a une paire de bâtons d’avance. Il y avait aussi des branches de sapin au cas où si…
Nous traversons le parc d’éoliennes. Thierry, tu as raison, c’est bruyant : on a l’impression d’une tempête bretonne ou d’un avion au dessus de nos têtes. Le vent est là, et la neige tombe. Mais les conditions sont très bonnes et, comme nous sommes les premiers sur les pistes, Bruno est le seul guide pour cette suissesse perdue qui cherche une auberge. Encore un devis qui ne sera pas conclu, nous allons à l’auberge mais la dame ne nous suit pas et fait demi tour. Nous discutons avec les raquetteurs et le patron qui en a marre de cet hiver. Ce qui laisse le temps à Lionel de nous rejoindre (désolé, t’es pas sur le selfie : oui, nous on est jeune, on fait des selfies ! d’ailleurs je vous recommande cette chanson humoristique : le selfie tueur ; http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1241279 )
Nous voilà tous réunis pour aller au point de vue sur le Chasseral : bin ? ils l’ont mis où ? d’après Pascal il a été déplacé cette semaine. Ha ?  Tant pis, nous regagnons notre point de départ, contents de notre sortie, en croisant les nombreux suisses, moins matinaux, qui eux arriveront à l’auberge à l’heure du repas.
Bref : la plus belle sortie depuis… ?
Et, tenez vous bien, pas de lavage en rentrant ! une douche et hop, po, pop ! une cervoise SVP !

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Et pendant ce temps, sortie VTT commentée par Gaël.

Désolé pour ce mail tardif, je viens juste de finir de laver mon vélo. 6h de nettoyage c’est long! Tu avais raison Chantal, le ski c’est plus propre. Mais c’est aussi beaucoup plus dangereux, et on y casse du matériel.
Ce matin n’étaient présents que des valeureux, des costauds, des grosses cuisses, des aventuriers de la meilleure trempe : Eric, Daniel, Michel, David et Gaël.
C’est sous une légère averse de neige que nous prenons les chemins à 5. Le coeur vaillant, mais redoutant le terrain. Dès le départ la couleur est donnée: marron. Et très vite les 29 (avec ou sans 9 inversé) calent dans la côte n° 27,5 où seul Gaël passe avec son format « que oui mais c’est trop proche du 26 ». Faisant fi de ces considérations, au contraire le groupe se ressoude et repart plus motivé que jamais à l’attaque des flaques.
Nous optons pour une terrain rarement emprunté, direction Etupes, généralement bien détrempé, puis revenons par le boueux sentier Etupes-Fesches. Un petit tour original qui nous fait passer derrière le stade de foot de Fesches et nous attaquons le sentier des bornes, aux passages bien défoncés. Ce fut dur pour tous, sauf pour Eric pour qui ce fut comme dans du Gato 🙂 . Les terrains boueux sont rudes pour les mécaniques et c’est Daniel qui appelle à l’aide au pied du passage le plus défoncé, en raison un problème de maillons récalcitrants. David en viendra à bout à avec un tournevis. Quelques centaines de mètres plus loin, après que Daniel ait fait ses ablutions hebdomadaires, on fait une petite boucle par le vita de Delle.
Nous revenons par Badevel, et empruntons le chemin passant par la ferme. Plus un bruit dans les rangs, c’est la peur au ventre que nous avançons sachant après le gué quel terrible danger canin nous attend. Bien entendu nous nous faisons charger par un animal hurlant résultat du croisement d’un cheval et d’un chien, et tel le chevalier sur son noir destrier, c’est un Michel complètement téméraire et désinhibé qui charge le monstre sous nous yeux incrédules. Nous devrons le calmer pour éviter un bain de sang.
 La montée vers le cimetière est délicate mais correcte et c’est revigorés par les histoires de Michel (qu’on trouve en bonne librairie: « Michel contre les chiens du vieux Suisse », « Michel contre les chiens du fermier », « Michel contre les chiens aliens », aux Editions du Chien qui aboie) que nous arrivons morbide au point culminant, fiers de l’exploit d’avoir gravi dans de telles conditions.
 Pas de blessés, pas de casse.
 35km, 330 m d+, 80t de boue

 

 

-1° et +15 VTT au départ

Les conditions météo de la veille ont rameuté du monde ce dimanche 28 février : 15 participants et pas mal de revenants. Ca fait du bien de vous revoir ! Jef, Francis B., Claude L., Daniel, Michel, Olivier, Alex, Philippe, Chantal, Franck, David, Eric, Patrick, Xavier, Gaël.
Mais les conditions ne sont pas si bonnes car déjà sur la place certains cherchent à se réchauffer: la t° basse est renforcée par une bise glaciale. Bise : signifie « hiver » en vieux français (Note du webmaster).
Demain c’est la rentrée.
Optimiste le professeur Lab prend la direction du belvédère de Mandeure, tout en faisant quelques détours pour réchauffer sa classe. Mais un groupe de 15, c’est la multiplication des probabilités. Et c’est en longeant la route Dasles-Audincourt que le premier effet se fait sentir: il y a beaucoup de branches et l’élève Michel brise sa patte de dérailleur. Et dans ces moments là on apprécie cette petite phrase: j’en ai une… chez moi. Pour le punir de ne pas avoir son matériel, lil est abandonné à son sort en espérant secrètement qu’il se fera dévorer par un loup. Avant la sortie du sentier, certains profitent que le professeur a le dos tourné pour tricher et couper.
Exercice de rentrée : conjuguer le verbe chuter au présent de l’indicatif
Un petit bout de piste cyclable plus loin, nous voici à l’assaut de Belchamp. Après une ‘tite pause Daniel démarre et chute devant ses camarades pour leur plus grand bonheur. Il recommencera plus loin, en pleine lancée cette fois. Devant tant de mauvaise volonté de la part de sa classe, le professeur Lab décide d’écourter le programme sportif et de faire un peu d’histoire en se rabattant sur le théâtre romain.
Deux petits malins appliquent la « bonne vieille méthode à Bruno », un ancien élève qui était le roi du raccourci, et arrivent avant même le professeur sur le sentier vers Bondeval. Ils immortalisent leur souvenir pour le diffuser sur les réseaux sociaux.
Entre Bondeval et Seloncourt, et avec pas mal d’élèves en moins, c’est Jef qui chute à son tour en voulant faire découvrir un nouveau sentier à sa classe. On a entendu quelques ricanements dans les rangs.
Retour par Seloncourt, puis Vandoncourt où Gaël confirmera l’électrification d’une clôture et enfin Montbouton.
37km, 520m D+

21 février ? mars plutôt, non ?

Au départ pour ce dimanche sans pluie et avec la douceur. Éric, Daniel, David, Michel et Xavier (chargé du compte-rendu). Tout le monde espérait voir un guide habituel mais non, certains voulaient profiter de la neige et d’autres ne voulaient pas sortir pas assez froid et pas de pluie !!!

David décide de nous emmener direction Joncherey pour aller voir les futures cabanes dans les arbres des étangs du Verchat.
Nous allons à Fesche puis Grandvillard le parcours est assez roulant, David prend soin de ne pas prendre les bourbiers. Arrivés vers Joncherey nous entamons la visite des étangs ou les cabanes dans les arbres et sur l’eau sont déjà nombreuses et quasi terminées.
Pendant la visite, on voit au loin arrivé sur nous un VTT aux couleurs du club… Il s’agit de Raphaël. Il décide de rouler avec nous pendant quelques Km.
Éric se lance dans une visite approfondie d’une cabane. Un sujet taraude certain du groupe et demande une enquête à Thierry (peut être un nouveau scandale écologique) pour savoir comment est géré l’assainissement des cabanes.
Le tour terminé, on arrive à Faverois puis un petit single sympa nous ramène jusqu’au château d’eau de Delle. C’est ici que Raphaël nous quitte pour une choucroute !!!
On arrive à Boncourt, toujours afin d’éviter la boue on préfère prendre un chemin roulant. Arrivé à un croisement on décide prendre le single pour aller aux pas du diable (NB : ce qui n’est pas vraiment roulent….).  La célèbre montée restera impossible, impossible d’aller assez vite un arbre est tombé…
Arrivé aux pas du diable Michel souhaite rentré par la route… Il sera seul. Nous continuons pour  aller à Croix, les chemins sont beaucoup moins roulants et les coupes presque blanche modifie pas mal le paysage et l’état des chemins.
A croix nous retrouvons un nouveau membre du club, il s’agit de……. Michel. Qui croyant gagné du temps par la route, n’avait pas pensé que le vent soufflait très fort et donc une belle galère sur des routes dégagées.
Et voilà le retour qui ce profile, David et Éric rentrent ensemble, Daniel et moi passons par le chemin des passeurs pour arriver à la ferme Houdin.

Merci David pour ce parcours sympa qui a permis de ne pas trop se cramer dans la boue.

41 km et 530 m D+

Oui, il fallait être maboule…

A l’abris devant le foyer George Brassens, une silhouette attend. Elle pense bien qu’elle va être seule pour cette sortie dominicale, tant les conditions sont détestables: une grosse pluie tombe. Rapidement ses doutes sont levés par une autre silhouette qui descend la rampe des Oisillons et vient le rejoindre. Xavier ne sera pas seul, Gaël l’a rejoint. Le premier pensait bien trouver le second, tandis que ce dernier a finalement décidé de sortir à 8h45 en pensant bien qu’il y aurait quelqu’un.
Pilotes: Xavier et Gaël (pour ceux qui n’auraient pas suivi).
Quelques minutes plus tard, dans un panache de monoxyde d’azote et de dioxyde de carbone, une berline sombre issue d’une firme déloyale d’outre-Rhin se gare devant les 2 héros du jour. En sort un Daniel pas fier de ne pas rouler dans un véhicule dont la marque fait la fierté régionale depuis plus d’un siècle. Venu voir qui serait assez fou pour rouler dans ces conditions, il est quand même surpris de constater que 2 vttistes sont au rendez-vous. Après quelques tractations Daniel renonce à les accompagner, l’idée de sa charmante épouse l’attendant sous la couette étant plus forte que celle de se faire rincer toute une matinée en compagnie de 2 maboules.
Et il aura eu raison le bougre. Non pas que les conditions au sol furent difficiles, la pluie lessivant le sol, il n’est pas trop boueux. En témoigneront des vélos pas très sales. Par contre après plus d’1 heure à se faire rincer par le haut (pluie) et par le bas (éclaboussures que Xavier comparera à juste titre à une bonne séance d’aquabike), la température chute brutalement à l’approche d’Abbevillers, la pluie laissant place à la neige. 0°, puis bientôt -2°, autant dire que les extrémités copieusement arrosées depuis le matin se refroidissent très vite, à tel point que ça en devient vite insupportable. Les 2 compères décident d’abréger et de rentrer au plus vite. Mais qui dit vite, dit vitesse et donc frottement de l’air sur les extrémités gelées… qui en deviennent encore plus douloureuses!
Ils rentrent le plus vite possible en espérant ne pas perdre de doigts en route, ni de subir d’avarie mécanique qui aurait été dramatique pour ceux-ci. Heureusement le Bulls et BMC sont de véritables horloges.
Alors certes j’entends les moqueurs, les railleurs, ceux restés chez eux, bien au chaud au milieu de leur lit ou de leur épouse, qui se tordent de rire en lisant ces lignes. Mais vous messieurs, vous n’avez pas eu la chance de survivre au froid, vous n’avez pas eu l’immense bonheur de retrouver l’usage de vos doigts de mains comme de pieds, vous n’avez pu apprécier la douce chaleur d’une douche froide vous redonner lentement la sensation de votre corps profondément engourdi. Et jamais non jamais, vous ne saurez qu’il ne faut pas sortir sous une pluie battante en plein hiver.
Alea jacta est (aucun rapport mais ça en jette)!
25 km, 310m D+
Pas de photo, plus de doigts pour les prendre.

La pluie n’arrête pas le vttiste

9h, place de la mairie, Beaucourt, un groupe attend à l’abri du foyer: Pascal, Eric, Daniel, David dit le bûcheron, Jef, Victor, Claude, Claude R., Mathias, Michel, Gaël.
La pluie s’est installée, les k-way sont enfilés (les veinards).
Après avoir pris la direction des hauts de Beaucourt, le groupe contourne le Grammont depuis l’entrée de Montbouton, puis pique à travers champs pour se rendre, via le sentier qui conduit à la salle du plateau, au chemin qui descend à l’étang Cayenne. Dans la descente nous admirons 2 magnifiques marches et un joli franchissement par nos champions. Pour les vieux, on attendra les cours de Jef. Jef qui d’ailleurs plante la roue avant dans un banc de sable (?) en bas de la descente et finit avec son amour propre au tapis, imité peu après par Daniel.
Les conditions au sol ne sont pas mauvaises mais la pluie devient plutôt forte. Le contournement du pont sarrazin avant La Cachette fait des dégâts. Pascal est crevé.
Pendant qu’il récupère en simulant une crevaison, les autres prennent leur douche à l’abri d’arbres sans feuilles.
C’est à ce moment que les Lab et Mathias nous faussent compagnie prétextant une invitation. Ben voyons!
Après avoir récupéré le simulateur et ses acolytes, nous nous disons que l’objectif de Courtedoux est compromis, d’autant que les vêtements commencent à prendre l’eau. Réalistes, nous réduisons donc le parcours et remontons vers les sentiers balisés par la Randonnée Hérimoncourtoise. C’est à ce moment là que nous avons crû apercevoir Chantal et son k-way bleu, ainsi qu’un point jaune loin devant. Nous hélons qui nous croyons être la belle brune, qui s’arrête, et qui repart. Croyant avoir été victime d’une hallucination collective, nous reprenons notre chemin, mais c’était bien elle !
 Pascal continue sa descente aux enfers et a encore un coup de pompe à quelques mètres de là.
 Sur le GR5, nous croisons Fabien qui a aussi cédé aux sirènes Suisse de chez BMC pour son nouveau 29 accompagné d’un copain qui lui aussi roule en Bulls 27,5, comme Benoît et Gaël! Ils ont tout de suite sympathisé ! Quelques mètres sur le GR5 puis nous obliquons tribord toute après avoir été lâché par Michel qui n’a pu résister à l’appel de la maison (et certainement de Christine).
Nous rentrons par les sentiers habituels, détrempés, la boue étant liquide, attendant encore une fois Pascal qui s’arrête prétextant une crevaison lente, plus vraisemblablement pour souffler. Pascal et Eric quittent le groupe de 6 rescapés avant le mont Novel, David et Claude quittent le groupe de 4 rescapés avant le réservoir de Montbouton et Daniel et Gaël finissent par le Grammont, pour opérer une scission du groupe de 2 à l’entrée de Beaucourt.
Seulement 20 km et peut-être 325 m d+. Mais le plaisir d’être sorti et d’avoir pédalé.
Aujourd’hui on aura vu Jef chuter, Pascal crevé et David rouler dans la boue sans râler. Comme quoi tout peut arriver.

C’est l’hiver ?

Un groupe de fondeur est monté au Ballon pour profiter de cette neige qui est arrivée tardivement et qui va repartir vite… Le sol était gelé mais quelques vttistes n’ont pas froid !
Un hiver décidément pas comme les autres: démarrage tardif, neige la semaine dernière, froid cette semaine, pluie vendredi, puis à nouveau le redoux hier (9°), qui laissait craindre un « embouement » particulièrement important. Et bien non, car le sol est resté froid et c’est donc un sol bien dur qui nous attend. Nous c’est à dire: Daniel, Patrick, Eric, François P., Xavier et Gaël.
 Alors commençons par les nouvelles. Ou plutôt les nouveaux : Xavier a troqué son Nerve alu (TS donc) contre un BMC SR carbone. Au programme: réactivité et punch. Un futur client à surveiller.
Pour changer de ses petites sorties pifométriques, Gaël est venu cette fois avec un parcours tout prêt chargé dans le GPS: un parcours inédit, emprunté une seule fois avec Franck et Bruno. La partie inédite se trouvant surtout au sud de Grandfontaine, un petit single bien sympa après un coup de cul de 17% d’après le GPS, 20% d’après les guiboles. Entre Croix et Abbevillers, le single vers Fahy est bien gelé sur le haut, mais quand même un peu gras dans la descente. Gaël se précipite en bas pour ensuite admirer ses collègues et parier sur celui qui ira au tas. C’est Daniel qui le régale à ce jeu sans conséquence autre que la perte d’estime de soi. Une fois atteint le Cap Sud de la boucle, la remontée vers Fahy se fait par le sentier des bornes. Le 2ème juge de paix de 17% est fatal à la chaîne de Pat, qui lâche devant tant de difficulté. Heureusement, l’attache rapide de Pat’ bien mise en place par la pince miracle de Gaël permettront de repartir rapidement. Ce qui nous vaut un formidable de commentaire d’Eric: « Moi en aussi j’ai acheté une pince comme celle-là, c’est super. Elle est dans mon atelier… ». Merci Eric pour ce moment de détente.
Retour classique, mais petite variante sur la fin car au lieu de prendre la descente infernale vers la route de St Dizier, Gaël emmène le (reste) du groupe sur la variante qui emmène au même endroit et qu’on prend parfois au départ.
La comparatif des dénivelés positifs en cours de route laisse pantois:
Gaël: 524 m D+
Patrick: 740m D+
Xavier: 630m D+
Alors vous prendrez les chiffres de dénivelé avec circonspection: 36 km 576m d+ … ou plus

 

17 Janvier 2016 après Jésus-Christ : il a neigé

Succès pour la journée convienne du club au ballon : 25 inscrits, et la neige (enfin) au rendez-vous !

Compte-rendu par François.
Nous sommes le 17 Janvier 2016 après Jésus-Christ. Tout le club est occupé par sa sortie au Ballon… Tout ? Non ! Deux irréductibles Gaulois résistent encore et toujours à la pratique de ce sport qui consiste à marcher comme un canard appuyé sur des cannes (je ne parlerai pas ici de ceux qui préfèrent marcher sur des raquettes plutôt que de jouer avec).
Je partis ce dimanche matin de Dampierre avec peu d’espoir de trouver un compagnon de route à Beaucourt. Je profitai des bois de Dampierre pour tâter un peu le terrain, ce que je fis conscencieusement car je m’étalai sur le flanc dès la première descente tel un sanglier dans sa bauge. Ca glisse !
Je fus agréablement surpris en arrivant à Beaucourt de trouver Pat qui était sur le point de rentrer chez lui aux vues de l’affluence record du jour. Nous décidâmes de rouler dans les bois alentours, ce que nous fîmes en tournant entre Beaucourt Dampierre Audincourt Vandoncourt. Pat fit une première glissade près de Taillecourt, avant de renouveler son étude géologique du sol dans la côte menant vers Vandoncourt.
Ce fut ma foi une agréable sortie, agrémentée de neige et de boue. Il n’y a pas qu’en ski que l’on peut profiter de la glisse.

 

Saint Gadoue par Gaël

Ce dimanche matin peu de monde au départ: Daniel, Pascal, François P, Gaël.
 Après une nuit bien arrosée (par la pluie) nous sécurisons le parcours en prenant la direction de la Suisse. Les chemins sont détrempés mais assez peu boueux. Les fortes pluies ont surtout ruisselé. On voit ici et là un chasseur.
 La météo est également favorable puisque sans pluie, juste compte-t-on un peu de vent.
 Après une petite escapade en sous-bois à la sortie de Delle sur la route de Faverois, qui nous fait découvrir un sentier super sympa, parcours classique jusqu’à Boncourt, puis Delle, où nous quitte un François affaibli par la maladie (et la traversée d’un champ un peu collant 😉 ).
Nous nous lançons dans l’ouverture d’un deuxième nouveau tronçon dans les sous-bois. qui nous mène à la route entre Lebetain et Feches.
 Pascal quitte le groupe rescapé sur la route de St Dizier et Gaël convainc Daniel que par le chemin c’est plus court que par la route. Nous descendons par le plus court mais pas le moins gras directement à… Malfosse. Sur le chemin, Daniel fera même l’honneur d’une petite chute dans la boue, du genre qui tire éperdument sur sa chaussure sans parvenir à la retirer. Nous trouvons enfin la boue que nous étions venu chercher et remontons tranquillement jusqu’au cimetière des Pins, crottés mais heureux.
Franchement ça valait pas le coup d’être ailleurs 🙂
 39 km 600 m d+

commentaire du webmaster : il y a plus suisse et plus propre comme parcours… finir par le creux de Maltose, c’est chercher le sanglier….

La première de 2016

Le réchauffement climatique, c’est bon pour le VTT! Les autres avec leur COP 21 peuvent aller se faire voir! Qui dit t° élevées, dit pas de neige et donc VTT. Voilà. Bon j’avoue c’est un peu réducteur…
Et la preuve que ceci est vrai? La liste des présents ce matin: Bruno, Franck, Lionel, Pascal, Eric, Thierry D., Francis B., François P., David, Philippe Pu., Joseph, Claude R., Claude L., Victor, Jef, Pat, Xavier, Robert, Gaël. Oui vous avez bien compté, 19 participants! Le 04/01/2015 nous n’étions que 4, et le 12/01/2014 seulement 6. Même la journée de pluie de la veille ni même le froid n’ont démotivé qui que ce soit, le ciel était bleu et le soleil brillait (bas).
Nous prenons la direction de la Suisse, et comme vous pouvez le constater sur la carte nous y sommes parvenus… par le biais de Francis qui s’égare dans Abbevillers, quel distrait celui-là. Avant cela, nous avons pu constater le soin que Bruno prenait de nous en passant devant une voiture de chasseur où un panneau « Tir à balles » invitait le quidam à rebrousser chemin. Le quidam oui, Bruno non. Et c’est la peur au ventre que nous entrons dans les TERRIBLES bois de Montbouton !!! (à lire avec une voix d’outre-tombe).
Après avoir perdu Francis nous réussissons à nous débarrasser des avions de chasse de la famille Lab à la sortie d’Abbé pour reprendre un rythme plus pépère qui sied mieux à nos sorties dominicales et bucoliques. Mais il reste encore quelques crevures prêtes à tout pour enterrer le Président…
Le Président qui écoute ses ouailles et leur évite les coins les plus risqués niveau adhérence. Roche les Blamont, Blamont, Glay, les sentiers défilent et finalement l’adhérence reste très acceptable. Bon on voit régulièrement un déhanchement involontaire, une dérobade non contrôlée, ou un couchage sur le côté, comme notre ami Pascal. Certains mêmes (François) continuent de nier malgré d’évidentes traces de boue sur les vêtements. Messieurs, je vous le redis, vous êtes montés trop gros pour pénétrer les petits sentiers boueux!
Et Philippe, notre ami Philippe, a finalement opté pour une remise à neuf de la transmission de son Canyon Année Modèle 2008. Il ne limera plus, c’est Martine qui va être contente. Ben oui, comme le Canyon fonctionne comme une horloge, plus besoin du Spé!
Nous finissons au pied de la papét où les plus pressés (Franck et Gaël) prennent le sentier pierreux et les autres la montée impossible. Du côté des 2 échappés, Gaël prend la dôloise et Franck, le nez dans le moyeu ne le voit pas tourner. Le premier termine seul et le second rejoint le groupe qui rentre par le chemin aller.
Gaël, échappé: 41km, 700m d+
Xavier, peloton: 39 km, 814m d+
Comme quoi les dénivelés des GPS…