Pas de changement d’heure (pas avant le 22 novembre…)

Tout le monde semble à l’heure ce matin malgré le recalage horaire. Et cette séance fait le plein: Jef, Eric, Daniel, Philippe Pe, Philippe Pu, Chantal, Xavier, François P., David, Thierry D, Claude R., Patrick, Gaël. On fait même la connaissance de Noisette, mais qui ne nous accompagnera pas.
Petit échauffement tranquille jusqu’au château d’eau de Montbouton. Ca y est tout le monde est chaud? On peut rouler! David n’a pas attendu, il trace déjà 😉
Le groupe contourne le mont terrible et s’engage dans le single habituel pour arriver près de la route de Croix, puis fait le choix de redescendre à gauche jusqu’au single plus régulièrement emprunté au retour et qui débouche sur la route de St Dizier. Là les choses se corsent puisque les étourdis se perdent dès le départ. Heureusement tout le monde se retrouve finalement en haut du single sur la route de Croix. Pour la suite le groupe se sépare en 2, David choisissant de mener et de constituer tout seul un groupe. On en profite pour rappeler les consignes, toujours se préoccuper de celui qui suit.
Nous zigzaguons dans les bois jusqu’au GR5 pour aller rejoindre au final la ferme des minimes, où le troisième groupe formé de Jef décide de rentrer pour le cyclo de Vesoul. Tandis que certains s’escriment à monter les cailloux de Seloncourt, les autres les attendent patiemment pour longer Hérimoncourt par un single inédit malheureusement raccourci par une faute de navigation de votre serviteur. Nous constatons la perte d’un pilote en la personne de Thierry, étourdi par je ne sais quelle jeunette bien roulée, et qui ne nous a pas vu nous engager sur le sentier. On lui donne RDV aux 5 sapins (importance du mobile en VTT !!).
Après une longue pause (voir photos), on tire vers la descente courte mais pentue juste à côté pour remonter vers Thullay avec une sympathique pensée pour Cédric. Descente qui vaut à Philippe Pe. une petite frayeur en jouant avec les branches et en tâtant du sol. Il se blesse l’amour propre côté droit.
Depuis Thullay on tire sur Roches, dans laquelle on perd un Philippe Pu. parti comme un sanglier poursuivi par les chasseurs, et que nos cris n’arrêteront pas. 2 éclaireurs partent le rechercher mais reviennent bredouille. Direction Glay, sur une partie d’une grande boucle d’un des précédents 1er mai, puis sur des chemins assez empierrés. 2ème chute de Philippe Pe, qui se blesse cette fois l’amour propre côté gauche. On finit par un peu de portage pour arriver dans le lit du cours d’eau de Glay: le gland (ça ne s’invente pas). A Glay le groupe se re-sépare. Le 4ème groupe rentrant, ne restent que 5 valeureux pilotes qui montent sur Abbé raccompagner Thierry formant un avant dernier groupe. Puis 4 d’entre eux finissent par le Pont Sarrazin, et comme la semaine dernière seuls Daniel, Xavier et Gaël resteront ensemble pour descendre le Grammont dans des conditions excellentes.
On conserve le départ le dimanche matin à 8h30 jusqu’à l’assemblée générale
Petite erreur de manip sur le GPS, disons 43 km 830 m d+.

Une pointe hivernale

Par Gaël.
En ce matin d’hiver (?) le temps humide et la grisaille n’ont pas rebuté les vaillants membres du club: Francis, Pascal, Alex, Daniel, Thierry D., Michel, Chantal, Philippe Pe, Xavier, Philippe Pu, Patrick, Robert, un nouveau Frédéric et Gaël. 14 pilotes!
Sur la place, on se croirait au marché et ça papote. A la question de Thierry « à quoi ça sert le truc en plastique sur ton top tube? », Alex répond très sérieusement qu’il s’agit d’une protection pour éviter que le cintre ne vienne buter dedans et l’abimer. Ce que votre facétieux serviteur s’empresse de tester : le cintre passe totalement au-dessus du top tube! Ensuite toujours le même Alex nous montre la photo de sa prochaine monture « 40th birthday », qui ne déparera pas à côté du Willier de Daniel. Les goûts et les couleurs…
Départ direction le cimetière, descente dans la combe et recueil à Malfosse sur les lieux du dernier exploit de Daniel. Puis direction Feches pour prendre le sentier vers St Dizier depuis le début. Ce qui nous permet d’assister à une étrange pratique échangiste entre Daniel et Michel, l’un montant la monture de l’autre. Drôles de moeurs…
Direction Lebetain, et sur le chemin Francis ramène une Chantal étourdie qui avait raté un croisement. A la sortie de Lebetain nous assistons à une scène de chasse d’une rare violence (voir photos). Plus loin Chantal remercie Gxxl (anonymat) de l’avoir tirée dans la montée. Gaël emmène le groupe en terre inconnue sans fléchir, sentant le doute derrière monter proportionnellement à la hauteur des herbes sur le chemin, mais sauve les apparences dans une clairière en aboutissant par une chance incroyable sur le single descendant des Pas du Diable. Le groupe part à l’assaut du coup de cul à droite au bout du single. Bruno peut être fier, tout le monde l’a monté. Au croisement entre la France, la Suisse, l’Italie et l’Allemagne, le groupe se sépare en 2: Robert, Pat, Francis et Philippe Pu remontent sur Villars.
Nous irons tailler dans la forêt Suisse loin des balles Françaises sur des chemins inconnus et encore une fois, au pif de Gaël. Ce qui amène une partie du groupe après une longue descente près de Buix sur un chemin assez inédit, puis direction Villars le Sec via Bure en remontant tout ce qui a été descendu.
Nous descendons sur Croix puis remontons sur Vandoncourt, éparpillant de ci de là les autochtones des hameaux locaux.
Les 3 derniers (Gaël, Xavier et Daniel) feront une dernière petite boucle surprise via le cimetière de Dasles et en rentrant par la p.. de sapinière qui leur en a mis plein le dos.
40 km 760m d+, terrain sec à juste humide.

28 septembre, la chasse est ouverte

Aujourd’hui, c’est Xavier qui s’y colle !

Topo de la sortie, environ 20 au départ, je ne peux pas vous dire tous les noms….

Bruno part direction le trou de Malfosse, et là, au tout début de la descente au trou, Daniel nous a fait une figure de style, il raté son freinage et hop il a fini au sol.  Résultat : un bel hématome à la cuisse.
Après : direction la Suisse pour éviter les balles perdues, et, à défaut des balles perdues, c’estBbruno qui nous a perdu… la descente des bison à été dévalée à vitesse grand V. Nous sommes allés jusqu’à Buix et tour de Boncourt.
Arrivé vers Delle Franck nous a montré qu’il pouvait tomber … Retour par Thiancourt et Badevel, où quand on  est arrivé vers la ferme, un gros chien nous aurait bien croqué les mollets, d’ailleurs il m’a pincé !
Perso, à partir de là, j’étais cramé plus de jus et début fringale, les Km furent durrr. .. on a fini à 12, certain sont allés savourer une bière chez Jeff.

45km. 940m+ déniv.

Sorcelleries veille de l’automne

Par le prolixe Gaël.

Ce matin forte affluence, même si des habitués manquent à l’appel. Les lendemains de noce doivent être douloureux pour certains et on imagine les maux de cheveux qui doivent sévir à Beaucourt, Méziré ou encore Grosne.
 En attendant, sur la place on retrouve en tenue estivale:
– Francis de retour pour de bon avec l’indestructible Bianchi
– Olivier sorti du canyon suisse et qui espère faire des étincelles avec son nouveau pote Scott (là c’est recherché)
– Cédric, alors oui Cédric parlons en, qui croit qu’un VTT peut avancer avec 2 roues avant, m’ouais m’ouais je sais pas c’qu’ils essaient dans leurs périples les sénateurs, mais il doit y avoir du champignon,
– Jef, qui pense que pour être à 8h30 sur la place de la mairie de Beaucourt, se lever à 8h25 à Montbouton suffit. Bel exemple pour les élèves
– Franck, sans Bruno, c’est comme le sel sans le poivre. C’est surtout venir à Vélo de Méziré au lieu de la camionnette
– Alex au guidon d’un p’tit 27,5 tout carbone de 8kg6, tellement nerveux que même à l’arrêt il bougeait tout seul
– Eric, qui regrette les bières de la veille
– Joseph, qui fait acte de bonté en venant rouler avec les vieux croulants
– David, qui pour remplacer l’Orbea hésite pour un BMX
– Philippe Pu., qui revenait du bal masqué (il faisait le petit chaperon rouge je pense)
– Alexandre le routard
– Pat, très élégant, qui changeait de tenue à chaque arrêt
– Claude, qui se dit que, quand même, ils ont bien bouffé à sa sortie du 30/08
– un nouveau dont j’ai honteusement oublié le prénom, et à qui on a dit au moins 15 fois que son Lapierre lâcherait au niveau du triangle arrière. Complètement traumatisé.
– moi, qui avait prévu la neige et avait donc choisi l’équipement en conséquence
Voilà, maintenant que tout le monde est rhabillé, on peut se concentrer sur la sortie que l’on pourrait nommer Tours et détours autour de Beaucourt.
 Après un petit temps de chauffe en direction du vita de Dasles, je laisse la main à Jef pour un petit entraînement dans les bosses, celles qu’emprunte à l’école de VTT. Comme nous sommes de grands enfants, ça nous va comme un gant.
Ensuite on traverse le bois de Dasles direction Etupes pour redescendre au cimetière de Dasles et longer la piste cyclable par le sentier. Car Jef, en professeur appliqué a une idée en-tête. Les bosses ont servi d’entrainement, il faut maintenant passer aux choses sérieuses: the witch.
Et oui, la sorcière, celle qui nous ensorcèle et nous effraye en même temps. Lorsqu’on la contemple de dessus, s’offrant entière à nous, langoureuse, on se demande si on ne va pas caler, si on va être à la hauteur, si on ne va pas avoir de panne au moment de s’y engouffrer!!! Car beaucoup arrivés au point de non retour n’osent le franchir et s’abandonner totalement à elle. Mais pour qui ose se lancer, c’est un bonheur incommensurable, loin d’être la descente aux enfers qu’on imagine, mais au contraire, un de ces petits moments de plaisir qu’on se rappelle toute la journée un sourire aux lèvres…
 Les quelques aventuriers qui s’y sont lancés retrouvent le reste du troupeau, ignorant ce qu’ils ont raté, sur le haut de Dasles-Vandoncourt.
 9h45, soit environ 1h après être parti, certains commencent à passer à table. Ce qui nous donne une idée: et si nous allions à la table… d’orientation? Mais ça serait sans compter sur la persévérance de Jef qui, déçu que ses élèves n’aient tenté la sorcière, leur réserve une copine plus accessible, après la ferme des minimes, au-dessus de Seloncourt. Pas facile non plus, le single qui suit se fait en ordre dispersé. Il faudra reprendre tout ça en main.
 Puis on contourne Hérimoncourt par le single et on découvre une nouvelle formule d’échappée: ceux qui lâchent le groupe par l’arrière!  Premier départs de 3 concurrents (Cédric, Olivier, Alex).
Arrivé sur le GR5 entre Abbé et le Pont Sarrazin, deuxième séparation (Jef, Joseph), puis 200m plus loin dernier éclatement où seul Claude, Eric et Philippe me suivent.
 Objectif: la Philippe Dôle! Retour classique en faisant juste un petit détour à un train d’enfer par la table d’orientation où on pose pour montrer qu’on y était. Les 2 vandoncourtois restent à domicile, tandis que j’arrive à convaincre Claude de passer par le sentier de l’étang pour rejoindre la salle du plateau. Montée un peu difficile à un moment compte tenu de l’adhérence et de la pente, mais la satisfaction est là quand on arrive à la salle. Retour par les hauts de Beaucourt, via le single en face du château d’eau de Montbouton.
43km, 766 m D+

On dirait le Sundgau

Pas moins de 4 groupes au couleurs du club ont été vus dans les bois autour de Beaucourt…. c’était samedi, il faisait beau, et la météo qui annonçait un changement n’avait pas tord. Gaël, fidèle dominicain, nous fait le compte rendu de la sortie du lendemain.

Ce matin nous avions RDV chez Régis pour la désormais célèbre rando des 2 R: Régis et Raphaël (et réciproquement). Ces derniers ont pris l’habitude de convier le club un dimanche en septembre pour une rando sur un terrain nouveau, suivi d’un copieux repas. La météo capricieuse finit par se calmer et à 9h (presque) tout le monde est devant chez Régis.
Pilotes: Régis, Raphaël, Philippe Pu, Bruno, Jef, Pascal, Daniel, Benoît, Lionel, Gaël. Une belle équipe qui va encore faire des siennes.
Le circuit concocté nous change un peu de nos terrains de jeu favoris. Singles planqués, longue sapinière avec racines, rondins et petits ponts de bois. On s’éclate, mais on s’use, car le rythme est soutenu. Personne ne veut s’arrêter, tout le monde bombe le torse et c’est finalement le pneu avant de mon vélo le premier à rendre les armes, la faute à un minuscule caillou taillé comme un silex qui le pénètre et l’entaille trop fortement pour que le préventif ne fasse effet. Je tombe mon montage tubeless très perso (le flap a fait un flop ça me fait flipper) pour une bonne vieille chambre à 4 rustines au moins.
Ca repart plein pot, et c’est Benoît qui crie à l’aide après une petite hypo, juste après que Philippe en pistard appliqué n’ait manqué de monter une joggeuse sur son destrier. Quand on vous dit que ça cravache. Après nous avoir fait les poches ;-), Benoît repart requinqué et nous roulerons sereinement jusqu’à cette petite chapelle où cette fois c’est Raph qui réclamera son 4h. Bruno est victime de sa gentillesse, puisqu’en laissant mettre d’innocentes mains dans son sac pour leur offrir ses petites noisettes, un inattentif lui range involontairement sa poche d’eau à l’envers. 😉
Cette fois nous changeons de décor et attaquons un dernier raidillon bien raide pour aller rendre visite à Notre Dame du Mont. La redescente plein pot avec quelques zones glissantes nous donnera quelques coups de chaud, surtout pour Pascal, dont le Lapierre ira voir sur le bas côté s’il y est.
 Le coup de mou de Benoît a gagné sa roue AR, un dernier coup de pompe sera nécessaire pour finir.
 Comme l’année dernière, cette rando ne saurait nous laisser ignorant, avec notamment la visite de l’unique source alimentant Courtélevant et celle de son moulin.
A l’arrivée, apéro et repas gargantuesque, desserts recherchés et anniversaires souhaités. On n’a pas eu soif non plus. Final au soleil, quoi de plus?
 Un grand chapeau à Marie-Jo et sa famille, à Régis, Raphaël et Florence: vous nous avez encore gâté! C’est con, mais on reviendra.

Joyeux anniversaire !

Gaël ! par Gaël himself

Temps frais ce dimanche, 12° à peine. Le soleil est masqué par une couche grise. On jalouse ceux partis dans le sud… Pourtant la place de la mairie héberge déjà un beau groupe.
 Pilotes: Jef, Claude, Eric, Daniel, Sébastien, Francis B., David, Régis, Maxime, Xavier, Patrick, Gaël
Départ direction Montbouton par le chemin des vignes puis le sentier habituel au bout de l’allée cavalière. Derrière le Grammont, je me lance dans le sentier habituel et même pas 2 m après être entré dedans le Copperhead rue dans les brancards et menace d’éjecter son pilote, qui se rattrapera miraculeusement in extrémis. Pas de chute mais une belle brûlure sur la fesse gauche, un coude endolori et le cintre de travers. J’ai toujours pas compris!
Le groupe poursuit direction Abbevillers, quand soudain germe une idée dans l’esprit de Jef: Roche d’Or ! Je lui avais pourtant dit que je rentrais tôt. Plus rien n’a pu l’arrêter, il fallait qu’il retrouve le parcours que nous avait concocté Thierry D. le 12/7 dernier. Et il fallait voir quel sérieux il y mettait. La truffe à l’air, le poil brillant, les oreilles dressées, le regard alerte, quand à la queue..
Ce fut presqu’un sans faute, tout juste hésita-t’on (voir si c’est doux) à tord au pied de Roche d’Or pour lui être fidèle à 100%.
On redescendit par le même chemin que nous fit découvrir Thierry, et nous nous jetâmes corps et âmes dans les marches. Surtout Daniel, qui jeta le sien dans les toutes dernières et, dans une trajectoire improbable, termina par un roulé boulé sur le macadam sans gravité. Piqué au vif il remonta sur le vélo que lui prête sa charmante épouse et nous refit une démonstration plus convaincante de son savoir faire et de sa maîtrise. Du grand art !
Un peu plus loin séparation non désirée du groupe qui se retrouve à Rocourt. Le temps pour Francis de se remettre d’une crevaison. Mais avait-il vraiment crevé… Le groupe rentre à bon train en traversant Fahy pour reprendre le chemin de l’aller. C’est ici que tout a commencé à déconner.
Après Abbevillers, au pied du pylône, Jef m’arrête pour me demander ma pompe, pneu à plat. Je suis déjà en retard… Les autres continuent. Puis Séb m’appelle pour me demander de passer toute de suite chez lui car il a un problème sur son biclou, et je laisse Jef derrière le Grammont. Je suis hyper en retard. Et Séb pas chez lui. Nom d’une pipe !
Au final je rentre chez moi à toc, y trouve une activité anormale, bien plus de voitures que je n’en possède et… du monde sur la terrasse, venu me souhaiter mes 40 « Ballet ». Belle surprise, vous m’avez bien mené en bateau toute la matinée !!!
46km – 878m et quarante ans.

Sortie Journée convivialité

Par Gaël. Ce matin l’appel avait été avancé d’1/2h. Je pensais me retrouver seul avec mon vélo. Surprise, « tout le monde » est là… sauf Alex qui a oublié de se lever. Journée un peu particulière, il s’agit de la journée convivialité: nous sommes tous attendus à 12h pour le repas à la cabane de Courtedoux. Il ne faut pas traîner.
Pilotes: Lionel (un transfuge de Pont-de-Roide), Robert, Franck, Jef, Claude L. (pas trompé), Victor, Joseph, Michel, Jean-Michel, Cédric, Séb, Daniel, Thierry D., Alex (sur le tard), Claude R., Francis B., Philippe Pu., Gaël.
Départ en direction du cimetière, où une fois arrivé en haut, Jef demande à prendre la tête pour nous montrer un parcours. Admirez le sens de l’orientation (trace en bleu foncé):
parcours Jef

 

Ce parcours fera une victime, moi-même, ou plutôt ma chambre à air AR (pincement). Au final je reprendrais les choses en main une fois qu’Alex nous aura rejoint.
Nous pouvons noter l’arrivée d’un nouveau mais trop rare 27.5 (Séb), et le vélo de Françoise que Daniel a emprunté pour la sortie. Au moins on est sûr de ne pas le perdre en forêt. Oui c’est bien du rose.
Le groupe repart enfin pour abattre du kilomètre, mais ma chambre de secours (récemment réparée) ne tiendra pas la pression, et malgré un regonflage il faudra la remplacer par une 29. Ce qui me vaudra de la part de Philippe le sobriquet de Moustache! C’est une blague vttiste que les non-vttistes ne peuvent pas comprendre.
Enfin ! Les petits problèmes étant derrière nous, plein gaz direction la doloise, du nom de cette variante ouverte par le père Dole! Séparation du groupe entre Hérimoncourt et Meslières, ce qui vaudra aux restant de se taper la papeterie, avec des succès (Robert et d’autres) et des presque succès (Philippe, moi). En tout cas les conditions étaient réunies pour la franchir. Retour via le GR5 où Sébastien pince également juste au-dessus du Pont Sarazin. L’après-midi nous jurerons l’un et l’autre de tubelessiser nos roues.
36km, 670m d+

Sortie du 16 Août

Ah ! Dès que les conditions se dégradent, on voit qu’il y a des effets. Il y a du monde. La pluie a rameuté 3 fois plus de pilotes que la semaine dernière (NB : Gaël sorti seul le dimanche avant).

Pilotes : Bruno, Franck et Gaël.

C’est sous une fine pluie que les 3 compères pédalent joyeusement et en souriant vers un terrain qu’ils espèrent boueux. Car un VVTiste boueux, est un VTTiste heureux (qu’est-ce qu’ils doivent s’ennuyer dans le sud…)! Direction Montbouton, où la Combe fait une première victime en la personne de Bruno. Trahi par son matériel une première fois, une fourche récalcitrante, il chute sous les yeux de Franck et se blesse profondément l’amour propre.

Le groupe continue prestement vers Fahy, entre blagues graveleuses et jurons sur le matériel qui vieillit. Les hommes aussi vieillissent, mais au moins un vélo, fidèle monture, ne répond jamais. Semi-chute de Franck cette fois, sous les yeux de Bruno. 1 partout, balle au centre.

La poursuite sur Grandfontaine permet de traverser de magnifiques paysages où veaux, vaches et chevaux paissent en pets (!). Après une petite pause, un magnifique single rarement emprunté (au contraire des pilotes) permet à Bruno, éclaireur, de se rincer à l’eau de pluie tandis que les pierres deviennent glissantes et que les 2 imbéciles derrière lui rigolent à pleines dents jaunes.

Sur le chemin du retour on se remémore, en y passant, l’endroit où un Gros Nez (du nom des habitants de Grosne) mal luné, empilait un tas de bois sur le sentier avant de disparaître dans la forêt. Bruno en ayant assez de griffer son bronzage breton (autant dire…), c’est Gaël qui prend la tête, à peine chatouillé sous la plante des pieds. Mais devant la descente il bloque, arrête Bruno dans son élan (pas l’animal, gros dégueulasses), qui chute dans les dites ronces. Tagazou Bruno 2, Franck 1, Gaël 0. Le monde à l’envers.

Retour par la Chefferie du Haut et, une fois n’est pas coutume, on descend le single du terrain de moto cross. Les 2 plus habiles prendront la gauche et son mur de pierres verglacées, la chiffe molle descendra par le côté moins risqué (sans les prénoms j’ai une chance de pas être reconnu).

Sur Beaucourt, on emprunta le chemin récemment nettoyé par la mairie débouchant route de St Dizier, duquel nous avons retiré quelques troncs. Il faudra y repasser systématiquement car il commence à disparaître sur le haut et les herbes repoussent à vitesse grand V: départs et retours obligatoires!!!

Retour tôt, 38km / 500m D+.

C’est les vacances !

Gaël n’étant pas présent, c’est Philipe el sangliero, qui se colle au compte rendu de la sortie hebdomadaire du club « je  joins le détail de nos sorties du dimanche matin, sans commentaire particulier, c’est impossible après ceux de Gaël que j’adore ! (les commentaires, pas Gaël !, enfin lui je l’apprécie aussi, mais je préfère préciser afin d’éviter les mauvaises interprétations).

Donc, ci dessous sortie du 26 juillet. Des singles très ludiques du côté du terrain de Golf et du Mont Bart, un vrai régal,…merci Chef !!!!!!! :-). 55,52km et 873m déni +

Présents : la famille Lab au complet, les 3 avions de chasse et Evelyn avec un VAE qui a fit forte impression, Bruno, Jean-Marie, Sébastien, Pascal, Patrick, Lionel, Daniel et moi.

Dimanche 02 août. Présents : La famille Lab sans Evelyn, 🙁 , tu nous a manqué, Paul Lab, Jean-Marie, Franck et moi. 47,3km et 1134m déniv+. »

CHAMPIONNAT DE FRANCE : HAUT LES COULEURS DU CLUB !

Max 89 en espoir avec les meilleurs mondiaux.
Paul 97 ème et 27 cadet 1ère année
Victor 2ème sur le podium !

article vélo vert :  » La bonne stratégie de Lab

Le Franc-Comtois et le Lozérien ne sortent pas de nulle part pour autant, ils avaient joué souvent placés depuis le début de saison. On se souvient par exemple que Victor Lab avait longtemps tenu la deuxième place à la Coupe de France de Lons fin juin, avant de rétrograder en fin de course (5e). Cette fois, il a appliqué une stratégie différente. Et payante. « A Lons, j’avais voulu essayer de suivre Benjamin (Le Ny) et je l’avais payé ensuite. Cette fois, j’ai été beaucoup plus prudent et il fallait l’être sur un circuit aussi difficile qu’à Oz. Axel (Zingle) et (Simon Gourc) m’ont donné un bon conseil, ils m’ont dit de ne pas partir trop vite », racontait le pilote de Passion VTT Beaucourt, futur pensionnaire du pôle France de Besançon. »

Article complet : ICI.

NB : calendriers et rendez-vous du club page SAISON 2015.

CHAMPIONNAT DE FRANCE 2015