C’est non sans un certain plaisir que nous nous retrouvons ce matin, sous un soleil d’été, mais sans chaleur écrasante. Un groupe constitué de quelques habitués mais avec une guest star en la présence de Stéphane Joliat. Pour les autres: Jef, Victor, Bruno, Daniel, Patrick, Philippe, Pascal, Cédric, Louis P. et Gaël.
On se dit qu’on ne peut pas laisser passer l’occasion d’accueillir Stéphane, alors direction le belvédère de Mandeure. Pour éviter de prendre tout de suite le goudron et pour s’échauffer en s’amusant, on prend la direction d’Etupes par les bois. Et le festival va commencer: Gaël chute en dérapant sur une racine et remercie son casque. Ce sera le premier d’une série poursuivie par Daniel (on devrait dire multipliée dans son cas), Cédric… et tous ceux qui n’oseront l’avouer.
Les conditions au sol sont sèches à 90%, il reste ça et là un bourbier ou des flaques, histoire d’avoir quelque chose à nettoyer en rentrant.
La visite commence par le théâtre Romain de Mathay, où chacun fait étal de sa culture: « je crois qu’il date de 1800 », « c’est une carrière de pierres », « Céline Dion y a chanté »… Pas le temps de discuter la montée nous attend.
On attaque par le Nord, pas le plus désagréable car plutôt roulant. Au belvédère la vue est toujours splendide pour qui aime le vert et c’est le moment d’une pose photo. Puis il faut bien redescendre. Les singes prennent le pont du même nom à 2 roues, puis se lancent sur le chemin qui sera le plus boueux de la matinée.
A hauteur de Bourguignon un circuit de motocross est installé, ce qui donne lieu à quelques échanges: « je ferais bien de la moto », « comment, tu veux prendre une photo »? Pas le temps s’apitoyer, on grimpe le raidillon puis on rejoint Ecurcey, Roches les Blamont et enfin le lieux de retraite de Cédric, la ville dont on tait le nom.
Après T… on se regroupe aux 5 sapins puis pleins gaz jusqu’à Hérimoncourt. Avant d’arriver, on opère un regroupement, Bruno, s’assurant que les derniers ont suivi: « Mais comment veux-tu qu’on sache s’ils sont derrière à la vitesse à laquelle on a descendu? »
Le retour se fait par Vandoncourt où l’on croise Martine. Pas le temps de trainer nous sommes attendus chez les Lab pour un sympathique apéro. Merci à Evelyne et Claude pour les préparatifs.
45km, 700 ou 800 m d+.
Mention bien à Louis pour nous avoir accompagné toute la matinée sans faillir. On peut en dire autant de Cédric qui n’a que le Vélib pour s’entrainer la semaine. Ce qui me permet de rebondir: pour ceux qui ne sont pas venus depuis longtemps, il n’est jamais trop tard!