14 & 15/05: WE à Morteau

Le groupe de vttistes au Saut du Doubs

Le WE dernier plusieurs familles se sont réunies au Gîte sur la Roche au Chauffaud (25) pour un WE VTT et marche. Au total 29 personnes, jeunes et adultes du club.

Le beau temps était au RDV, en témoignent le bronzage « maillot de cycliste » que la plupart ont affiché au soir du premier jour.

Le matin, RDV était donné à Beaucourt puis direction Villers-le-Lac. De là, direction le Saut du Doubs côté Suisse en vélo pour les cyclistes, et côté France en voiture pour les marcheurs.

Le Saut du Doubs vu de la Suisse pour les VTTistes
Côté France pour les marcheurs

Puis un gros groupe de courageux est monté au gîte à VTT: 6km mais 450m de D+, tandis que les chauffeurs remontaient les véhicules.

Casse-croûte tiré du sac au gîte et puis départ:
– un groupe de marcheurs sous la houlette d’Aurélien, il paraît qu’ils ont aussi jardiné. C’est bien de mixer les activités 😂
– un groupe de vttistes est allé faire la « Sibérie », 34km/800m D+, sous la conduite de Jérôme qui a tout de suite choisi le groupe des filles 😉
– un 2ème groupe de vttistes s’est lancé sur le sélectif sentier des bornes pour 47km et 1220m de D+. La remontée finale depuis la Val de Morteau a laissé des traces.

Marcheurs ou jardiniers, même destin

Aux prairies vertes fleuries se sont succédées les forêts, dans un écrin somptueux!

A l’arrivée, apéro bien mérité et repas copieux servi par Virginie: « si tu veux du dessert Eric, faut finir tous les plats ». Eric a donc fini les plats de toutes les tables.

Mais le clou du spectacle, ce fût l’américain Rictus pour sa seule tournée Européenne qui se produisait ce soir là au gîte en l’honneur de l’anniversaire (le Jubilé?) de Lionel. Casseroles dans les paroles et dans la voix, mais ambiance de folie.

Un plateau de 50 pour Lionel
Rictus n’en avait pas

Nous fêtions aussi l’anniversaire de Louis pour ses 9 ans 🎂

Mais un anniversaire, ça se mérite. Et Lionel n’était pas au bout de ses surprises lorsqu’il fût invité à une sortie nocturne, frontale sur la tête: un « cadeau » l’attendait pour corser cette balade improvisée.

La nuit était attendue pour son repos et son 2ème concert de ronflements cette fois.

Après un petit déjeuner copieux, les groupes se sont modifiés:
– marcheurs avec quelques vttistes de la veille
– Jérôme toujours aux commande d’un groupe parti explorer la Suisse sur un très joli parcours balisé de 700m de D+
– et le groupe d’aventuriers, dont certains prêts à se lancer à l’assaut des spéciales enduro qui s’est terminé en jeu de piste pour retrouver les lunettes d’Aurélien lors de ses nombreuses figures non imposées

2ème jour de marche
Un si beau paysage mérite bien un gros effort

Pendant que nous prenions une douche et plions nos affaires, nos hôtes nous préparaient un succulent repas pour reprendre toutes les forces.

Un grand merci aux organisateurs, bravo aux participants, merci au club.

20/03: le retour du printemps… et des vttistes

Aujourd’hui, c’est le printemps! Est-ce le changement de saison qui a attiré autant de vttistes? Bruno, Xavier, Franck, Aurélien, Pat’, Christophe, Mickaël, Dorian, Francis L., Gaël et dans le costume du retardataire : Cédric.

Direction Saint Dizier pour un petit échauffement, puis ils empruntent à l’envers le sentier du « KOM à Dorian », qui cette fois lui appartient. A force d’essais, il a réussi à s’imposer. Au-dessus, certains sont déjà en surchauffe: le déshabillage commence.

Pour fêter la reprise, sur la route de la carrière ils contournent le raidar vers Saint Dizier, histoire de ne pas tuer tous les revenants. Mais c’est qu’ils ont l’air sacrément bien entrainés!

Pour tester leur souffle, direction le Val, puis le petit sentier bien raide de la MTB 2021. Celui-là fait bien mal et tout le monde s’accroche en serrant les poignées. Personne ne lâche.

Dorian opte ensuite pour le sentier qui redescend vers Lebetain en prévenant de faire bien attention au petit sentier à droite… que Francis et lui, lancés comme des boulets, ratent…
Ils font un peu de jardinage sur le sentier pour éviter les arbres au sol, et rejoignent le single vers Boncourt avec un plaisir non dissimulé: celui de lâcher les freins.

Ca envoie du bois, parfois trop, tel Aurélien qui glisse des 2 roues en même temps et se fait une frayeur. Le partie après l’autoroute étant toujours bloquée, ils coupent par le bas, certains « dré dans l’pentu ».

Boncourt, les voilà! Direction le mont Renaud. première vraie longue ascension. Les concurrents dévoilent leur jeu et déjà des écarts se font. En tête caracolent Dorian et Francis, Aurélien, Bruno puis Christophe. Qui a parlé de reprise?

Au-dessus, séance photo, re-séance déshabillage, pause goûter, car ils ont déjà grimpé 400m. Après c’est que du bonheur: un long sentier au profil légèrement descendant, tout juste interrompu par 2-3 arbres couchés.

A Courcelles, ils saluent Mme Biquette, toujours perchée sur sa planche à ressort et attaquent la 2ème longue grimpette, vers Notre Dame du Mont. Arrivé sur place, c’est la déconfiture quand ils apprennent qu’ils doivent faire 1/2 tour pour rentrer. Tant d’efforts pour ça!

Ils repassent à Courcelles, prennent un autre itinéraire direction le Mont Renaud et gaz dans la descente. Delle les voilà! Enfin pas si vite. C’est d’abord Christophe qui loupe la bifurcation qui mène route de Faverois, puis Francis qui loupe l’arbre dans les herbes en revenant sur le château d’eau. Le tronc ne loupe pas lui et Francis fait un bel OTB! Quelques douleurs plus tard, il redresse ce qui doit l’être sur sa monture et repart un peu grogui.

Retour par la passerelle puis la caserne des pompiers. Sur le sentier Dorian les quitte, décidé à jouer la cible pour le tir au canard. Au-dessus de Feches ce sont Xavier, Cédric et Pat qui coupent. Les autres prennent le sentier des bornes direction l’autre Fesches.

C’est bien assez et il est déjà midi passé, retour par la piste cyclable. Sacré belle reprise, qui augure de belles sorties à venir!

43km, 930m depuis Beaucourt.

T+ 6 à 12° sous un beau soleil.
Sol légèrement humide à cause de l’averse matinale, mais s’asséchant.
Pas de panne, 1 chute.

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06/03: Mormont 2 (succès)

Encore un dimanche froid, ~0°C, mais un beau ciel bleu et ensoleillé. Chouette, le sol va être dur.Aurélien patiente quand Dorian et Gaël arrivent. Gaël déjà là? Et oui! On n’est pas le 1er janvier, mais les bonnes résolutions n’ont pas besoin d’attendre. Pat’ arrive puis Xavier, et peu après Claude, dit la Licorne, et sa chienne.

Au lieu de descendre directement sur Badevel, ils accompagnent Claude direction les Champs Houdins via la route, puis ils descendent le sentier de la principauté de Montbéliard direction Malfosse, tandis que Claude remonte sur le plateau.

Après 300m ils sont stoppés par une coupe très étendue et font donc 1/2 tour. Du coup ils optent pour le même début que le dimanche précédent. La poisse frappe encore une fois à cet endroit, car Xavier crève. L’objectif de ne pas rentrer tard s’éloigne.

Une variante (on appelle ça aussi un détour) est trouvée: ils poursuivent, rejoignent la route de Saint-Dizier et tirent tout droit, ce qui les fait dévaler par un sentier inédit jusqu’après Malfosse où ils croisent Martial et un copain.

1ère bosse de la journée: remonter jusqu’à la route de Badevel. Aurélien se sent pousser des ailes, il dépose tout le monde, puis se rend compte qu’il a mal jaugé la durée du raidard… et cale. A côté de lui passent « tranquillement » Dorian et Gaël, en bon gestionnaires. Au-dessus c’est la fête à Aurélien: moqueries de la part des 2 compères, y’a pas de copains dans ce club.

Ils descendent à Lebetain et c’est la 2ème bosse qui les emmène en Suisse sur le petit single vers Boncourt, toujours en travaux après l’autoroute.

Une 3ème bosse pour en sortir, les voilà à la Tour de Milandre pour un peu de tourisme et d’histoire: séance photos, admiration du panorama, et surtout un petit exercice de steps. Dorian pas complètement remis de sa sortie vélo de la veille garde les vélos, comme si ils allaient disparaître en Suisse…

A Buix 4ème pétard, mais qui a fait ce parcours??? Dorian décide de jeter l’éponge et rentre. Il n’a pas vu la suite… Pat’ commence à compter: « encore combien de montées »? « 3 » lui répond Gaël. « Tu m’as déjà dit ça à celle d’avant ». Xavier gère…

Le moral des troupes serait-il sur le point de flancher? Heureusement les montées sont entrecoupées de chemins blancs plus reposants. A Courtemaiche bis repetita: bosse puis chemin blanc. Gaël ne répond plus aux questions de Pat’… Et voilà venir l’épilogue de la sortie: the wall. 800m de pente abrupte sur un terrain accidenté. Les corps s’avancent, les buste se penchent, et finalement tout le monde accueille la décision en haut: on va couper. C’est un grand oui de soulagement. En plus l’objectif est atteint, ils sont à Mormont!

Ils longent la base militaire par le single et font leur dernière pause: il est midi. Retour au plus rapide, descentes, chemins blancs et bétonnés. Ils optent même pour la descente route de Croix-route de Saint Dizier (dite du KOM à … oui on sait) quitte à salir leurs vélos. Dernière péripétie pour Pat’ qui va au sol sans blessure autre qu’à l’amour propre.

46km, 1090m d+/- depuis le stade.
-1 à 5°C, soleil, ciel bleu, bise bien présente.
Une crevaison.
Trace: https://drive.google.com/file/d/1AKfaTO5yT5tYLmteZPfMrbkZzN_bSOAE/view?usp=sharing

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27/02: Mormont 1 (échec)

Ils sont frais, ils sont souriants, ils sont … emmitouflés sous leurs couches, on dirait des fondeurs: Aurélien, déjà bien chaud qui tourne depuis 40 min. Lui c’est sûr il va apprécier le retour à l’heure d’été. Dorian, bien chaud aussi d’avoir roulé depuis Joncherey, Pat’ et Ernest bien au chaud en sortant de leur voiture, Gaël le plus proche donc il n’a pas eu le temps de se refroidir.

Gaël essaye de partager sa trace avec les autres Garmin mais ça ne marche pas alors ils décident de se mettre en route. Pour ne pas aller très loin puisqu’après 5m il signale un pneu avant presque à plat. Valve mal serrée, résultat il faut pomper sous les moqueries des autres. Imaginez…

Enfin c’est l’heure du 2ème départ, le vrai, direction route de Saint-Dizier pour un petit échauffement. Arrivé à la ferme des Champs Houdin Aurélien vérifie l’itinéraire: c’est bien tout droit dans le virage, alors gaz! Gaël se lance aussi, Ernest itou mais malheureusement va au tapis après 5m! Des douleurs un peu partout et un support GPS cassé, ça commence bien après 6 mois d’arrêt.

Le groupe l’encourage et ils repartent. Mais 200m plus loin c’est Dorian qui manque à l’appel: il a perdu son GPS. Finalement il rebrousse chemin et le retrouve miraculeusement. Bon on peut y aller là?

Le pétard de Saint-Dizier fait monter le palpitant, mais avec tous ces incidents Gaël s’inquiète du retard pris. Direction le Val par la route, car il y un petit passage sympa mais bien raide à monter.

Gaël et Dorian arrivent en premier, puis Aurélien, puis Pat’, puis… personne. Enfin Ernest arrive: il a perdu sa cale gauche! Heureusement elle s’est juste dévissée, pas égarée, le temps de revisser tout ça, c’est reparti.

Toujours dans un souci de rattraper le temps perdu, Gaël les emmène à l’opposé des Pas du Diable en traversant un champ. Ça râle, ça peste mais heureusement c’est propre.

Les chasseurs du coin salués, ils passent le pétard au bout du single des Pas du Diable direction la Suisse. Alors là il faut tout de même rétablir une vérité: si on peut excuser Ernest et son manque d’entrainement, Aurélien lui n’en a aucune de mettre le pied à terre. Recommence qu’ils lui disent!

Ah la Suisse! Le Maira les accueille puis les voilà à Buix. En face ça grimpe, et longtemps et fort. Gaël s’accroche aux 2 hommes de tête un moment mais à la vue d’une nouvelle bosse laisse Dorian et Aurélien s’expliquer jusqu’en haut. Pat’ n’est pas bien loin. Enfin Ernest gère cette longue reprise…

Courchavon est presque en vue mais la montre a parlé: il s’en faut retourner. Direction Courtemaiche, puis Villars le Sec. Sec, mais pas tant que Ernest, qui a donné tout ce qu’il avait. Il profite de l’arrêt imposé suite à la casse de l’attache rapide de Gaël pour souffler. Attention, la 3ème en 6 mois, c’est comme ça que naissent les surnoms. Demandez à Pat’…

Décision est prise d’abréger le calvaire d’Ernest: à la sortie du village, ils empruntent la route des Pas du Diable, puis rejoignent Croix moitié par les chemins, moitié par la route et enfin le single dit du « KOM dont rêve Dorian ». 

Descente prudente car ça glisse pas mal, et les 1600m sont l’unique occasion de bien maquiller les vélos pour faire dire à Benjamin qui les attend à l’arrivée: c’était boueux!

Bravo à Ernest pour sa reprise sur un circuit exigeant et applaudissements pour Benjamin qui a joué les éboueurs dans les bois de Beaucourt.

40km, 946m D+ depuis Beaucourt.
Froid au départ mais beau soleil tout du long: 0 à 10°C.
Sol sec sauf… autour de Beaucourt.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1xheANCFvpnQBZy1r7Xzj6u9NVsLIuw7d/view?usp=sharing

13/02: trop sec pour être honnête

Beau soleil ce dimanche matin pour Pat’, Dorian, Xavier, Philippe, Martial (bienvenue) et Gaël. Bon pour Philippe c’était moins une, car il arrive quand les autres partent. Maintenant on connaît la raison de son retard hebdomadaire… mais on ne vous la dira pas!

Mission du jour: accompagner Dorian pour être sûr qu’il prendra le chemin de chez belle-maman. Ça commence mal, Gaël part au sud au lieu de l’ouest. Après quelques kilomètres, il se rend compte de sa boulette et reprend le cap. Mais ils ont déjà fait 3km.

Pour rattraper le temps perdu, ils dévalent depuis le point de vue de Vandoncourt et rejoignent le cimetière du village pour aller le plus vite possible à Seloncourt. Là bas les (grands) enfants s’amusent sur la pump track sous l’œil (gauche) de leur guide, qui a l’œil (droit) sur la montre. On s’étonne qu’il zigzague après ça.

Dans les bois la joie est de courte durée, le petit single qui surplombe Mandeure est toujours obstrué, 1/2 tour. Ils se jettent à corps perdu sur le single depuis Bondeval, bifurquent avant Fremeuge, et attaquent le belvédère par l’est sous un beau soleil.

Mais le retard accumulé au départ par le groupe est trop important pour Dorian: ils les quittent pour belle-maman. Après cette difficile rupture, Philippe les emmène depuis le belvédère vers la descente enduro mais opte pour la version XC, au grand soulagement de ses camarades.

Les voilà au théâtre. Pour tout dire le terrain est plutôt sec depuis le départ, alors Philippe opte pour la traversée du champ au lieu de passer par la route. 100m plus loin les voilà tous crottés avec des pneus doublés de volume.

Ils rentrent par le magnifique single à Phiphi qui débouche à Valentigney, rejoignent la piste cyclable car Hervé les attend pour la remise des vêtements. Sur la piste, ils ramassent un papy routard dans le peloton et rentrent mais pas trop vite car la fatigue se fait sentir, c’est la reprise pour certains. Seul Pat’ semble frais comme un gardon: il avait embarqué sur son VTT nucléaire.

Depuis Beaucourt: 45km, 750m D+/-Beau temps, sol sec (sauf dans le champ…), 0 à 10°C.Pas d’incident technique.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1z4Lfl7mk-dtuSuRCFny0dYRRIk5cl3V5/view?usp=sharing

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06/02: proverbe breton, quand les mouettes ont pied, il est temps de faire demi-tour

Après une sortie bien boueuse et glissante la semaine précédente, pas question cette fois d’y retourner (aussi tôt). Direction la Suisse et ses chemins blancs bien propres. Et avec le vent, pourvu qu’il souffle dans leur dos, ils pourraient battre des records. Aurélien et François de Dampierre, Eric de Badevel, Gaël le local de l’étape bientôt rejoints par … Louis lève tard mais à l’heure (en tout cas plus qu’un Philippe quand il est là). Go!

Direction Croix pour franchir la frontière en toute discrétion. Mais à peine l’a-t-il franchi que Eric explose le fond de sa gourde: grosse fuite en vue et son préventif n’est pas très efficace, ça coule. Pas de problème, la gourde est retournée, et Eric tance les autres d’un « alors on y va? ».

Le circuit du jour est roulant, et ça roule vite. Quelques flaques et passages un peu mou histoire de rappeler la saison, pour le reste c’est de l’autoroute Suisse… sans vignette. Bientôt ils arrivent à un lieu bien connu, là où des empreintes de Dinosaure sont abritées, un certain Tripotanus d’après Bruno. Mais personne ne sait si c’est vrai.

Ils traversent la Transjurane et avant de rejoindre Courtedoux, entament leur remontée vers le nord… et vers le ciel, puisqu’à partir de maintenant les grimpettes se succèdent. La dernière les emmènent sur un chouette single qui longe un bel obstacle: le terrain d’entrainement militaire. C’est pas ça qui les arrête, ils traversent et font fi des interdictions.

Louis s’inquiète il doit rentrer pour midi, sinon papa va gronder. Après avoir traversé Bure (et roulé sur les pelouses) ils se lancent dans la grande descente qui les mène vers la France, et son village le plus éloigné de toutes les côtes de la métropole: Villars-le-Sec. On n’est pas près d’y voir un raz de marée, ni d’y pêcher des moules. Ou alors les autres Français auront les pieds mouillés depuis un moment.

Certaines jambes commencent à souffrir et, comme dirait Eric, les oiseaux à être cuicui. Aussi ils évitent le bourbier en bas de Croix et contournent par la route. Au moins ils n’auront pas à pédaler dans la descente. Sauf que le vent en a décidé autrement et les voilà obligés à pédaler pour avancer.

A Croix Aurélien et Gaël se taquinent pour avoir la médaille, tandis que Louis lâche ses dernières forces. Retour tranquille par le macadam, jusqu’à l’entrée de la bien célèbre descente Route de Croix-Route de Saint-Dizier dont le KOM se refuse toujours à Dorian.

38km 620m d+ depuis Beaucourt.
Ciel nuageux, rafales de vent, 1 à 4°C.
Sol mou en sous-bois, s’asséchant.