C’est les vacances, entre le groupe en stage en Espagne et ceux qui ont osé prendre des vacances, seuls 5 sont présents: Bruno, Cédric tout électrique, Jef… C., Xavier et Gaël.
Ils passent devant chez Dada mais malheureusement pas de signe de vie. Revient Dada, on a les mêmes à la maison. Puis ils rejoignent le cimetière des Charmes pour grimper à Montbouton. Direction la nouvelle déchetterie forestière qu’un gros dégueulasse a inauguré en régurgitant toute sa laine de verre (photos). Dans quel monde vit-on? On espère qu’on le retrouvera celui-là.
Retour vers le pont Sarrazin, petite (mais alors petite) prière au monument aux morts, puis le GR5. 1ère scission: Gaël emmène Cédric à gauche, les autres restent sur le GR5. A Abbevillers, Bruno les entraine dans le petit sentier dans le virage (qui tourne 😉 ) de la Grande Rue puis direction les bois.
Ils ne résistent pas à l’appel de la descente, tant pis pour Aurélien, resté sur le flanc à la maison, et descendent aux pierres plates dans un rythme endiablé, mais prudent vu l’humidité résiduelle.
Les arbres au sol sont plus nombreux après les derniers coups de vent, il faut un peu zigzaguer voir enjamber. Cédric commence à se rappeler un des inconvénient des électriques.
A Glay ils rejoignent le sentier des bornes, puis la Chefferie du Haut, où un autre dégueulasse a élu domicile. Ils font une pause spirituelle au cimetière privé, très correctement entretenu. L’entrée les fait frissonner au grincement sinistre qu’émet la grille. Le 19ème siècle se rappelle à eux.
Au retour Gaël les rappelle à l’ordre, car ils allaient contourner le single à côté du motocross. Non mais! Xavier ne reconnait pas le sentier qu’il a l’habitude de prendre dans l’autre sens, normal, il l’a raté et a pris « le mur ». Retour par le chemin blanc, petite course dans la côte goudronnée, mais Bruno n’arrive pas à gratter Gaël qui garde son avance.
Etrangement ça pullule de vttistes dans ce bois, ils en croisent plusieurs et lorsqu’ils arrivent sur la route de Croix, leur groupe s’est agrandi, d’une féminine du club en plus!
On vous aurait bien dit que la descente se fit « à toc » mais les nombreux arbres qui jonchent le sentier ont fini d’user un Cédric qui cherche sans être entendu des variantes qui pourraient le soulage de ce poids.
Personne ne se sent d’attaque pour descendre le sentier des bornes jusqu’à Malfosse pour tout remonter ensuite, ni pour accompagner Gaël dans la variante intermédiaire. Bien leur en a pris, elle était entrecoupée d’arbres, sol défoncé par les chevaux, et boueuse… Un vrai plaisir.
37km, 811m D+