La petite pluie de ce matin en a effrayé plus d’un. A 9h12 précises Gaël s’apprête à partir, quand il est rejoint par Claude R. Ils partent en ayant beaucoup médit sur les absents quand cette fois c’est Pascal qui arrive tout essoufflé sur un magnifique Lapierre… 26″! Il explique qu’il a perdu son pédalier en venant nous rejoindre et a donc dû faire demi tour pour changer de monture en urgence.
Il pleut un peu quand les 3 compères s’élancent vers les hauts de Beaucourt, évitent Montbouton par le nord, longent le Grammont par l’Ouest, empruntent le chemin de St Dizier et traversent la combe du Lourdon. Mais très vite la pluie s’arrête et notre nouveau slogan aussi : quand la pluie est de sortie, papy reste au lit. Car oui certains font les malins quand il fait sec, mais dès qu’il pleut, plus personne. Certains prétextent qu’ils vont courir, d’autres qu’ils sont en WE à Marseille, d’autres qu’ils vont skier, et au final qui est là pour maintenir la boue en état ?
Ils décident de reconnaître la boucle retour du 54 du 1er mai. Dès le début une difficulté qui réapparaîtra souvent concerne les arbres couchés, comme la plupart des autres adhérents ce matin. La rando se poursuit en suivant le sentier des bornes au Paradis, puis au Purgatoire où avec des souvenirs plein la tête Pascal nous raconte cette fois où le groupe passait alors qu’une fermière top less ouvrait grand sa fenêtre et offrait à leur vue la première source d’alimentation du monde. Idem après la descente des Pas du diable, des arbres couchés, facilement contournés.
Gaël fait quelques arrêts pour trouver la source d’un bruit qui finira pas disparaître après St Dizier.
A la carrière Pascal quitte le groupe qui descend et remonte (à pied) par le sentier balisé ronds Bleus à Beaucourt.
Pas de distance, pas de dénivelé, pas de carte, panne de batterie du GPS non éteint depuis la veille.
Environ 30km.