25/05: bonne fête

Dimanche de fête des mères oblige, seulement 4 VTTistes ont honoré le RDV: Franck, Bruno, Eric et Gaël. Eric veut rentrer pour 11h30, il va pas falloir trop s’éloigner.

Partant sous quelques gouttes éparses, Bruno voulant bien faire est stoppé net dans son élan : ses 3 compères refusent de passer par le chemin barré d’un arbre et préfèrent remonter le KOM à Dorian à l’envers. Ces premières émotions donnent lieu à une séance de déshabillage général où Bruno perd son portable. Heureusement Franck veille.

Gaël les emmène au Val de Saint-Dizier. Admirant au passage les nuages pluvieux bien accrochés aux Vosges, ils rentrent dans le bois et Bruno est encore contrarié: alors qu’il indique à droite, Gaël va tout droit. La moutarde monte.

Au Val Gaël les emmène dans le single raidard malgré les protestations de Bruno qui dit que ça passera pas. Et ça passe… jusqu’à l’arbre qu’il faut enjamber et les ronces qu’il faut replier. Derrière c’est le royaume des hautes herbes et au bout du chemin ils comptent les passagers indésirables: 9 tiques pour Gaël, au moins une ou deux pour Franck et Eric. Bruno bénit son corsaire qui lui a valu les moqueries au départ.

Gaël les emmène vers les Pas du Diable par un sentier encombré de 2 troncs, et Bruno se plaint que cette sortie n’est pas bien préparée. Au bout du sentier, ils ont 2 choix: le raidard vers Villars ou le single vers les Pas du Diable. Eric opte pour Villars. Ah celui là quand il est proche de la Suisse…

Au-dessus les minutes s’égrènent quand Franck arrive enfin: il avait déraillé en bas. Pas le temps pour lui de se reposer que Bruno repart. A Villars, Eric essaye bien de les orienter vers la Suisse, mais non c’est non, ils préfèrent revenir vers Croix.

Dans le bois vers Croix, Gaël, Eric et Bruno lancent leurs machines, mais arrivé au bout du chemin, Gaël s’aperçoit qu’ils l’ont laissé se fatiguer. Grrr… Ils évitent soigneusement le trou du fond, véritable bourbier à sangliers, et rejoignent Le Paradis. Bruno râle encore de l’itinéraire pris par Eric et décide de les emmener sur le terrain militaire.

Les soldats se sont bien amusés avec les chars, le terrain est marqué par les chenilles, et celles-là, elles ne deviendront pas des papillons. Bruno cherche un passage. Il s’enfonce dans 60 cm d’herbes hautes puis disparaît dans un bosquet en hurlant « ça passe, ça passe ». Franck trouve quelques mètres plus loin une ouverture qui s’apparente déjà plus à un passage… d’il y a 10 ans. Quelques dizaines de mètres plus loin, ils passent devant la sortie du terrain militaire et Bruno fait le sourd aux réclamations des autres.

Arrivé là, la tentation est grande de se faire plaisir. Ils enquillent le single vers Grandfontaine à une allure qui ferait frémir un guépard. Bruno a du mal à freiner son vélo dans le dernier virage, quand Eric lui est en limite de piste!

Pour respecter l’horaire, il faut penser au retour. Bruno les guide vers le sentier des bornes et ils reviennent tranquillement au terrain de motocross. C’est là qu’Eric a décidé de commencer son programme grosses cuisses, rejoint par Gaël. Derrière Bruno papote avec Franck, en gardant sous la pédale.

Il profite de ce réservoir d’énergie pour larguer ses petits camarades dans le bois qui les ramène à l’endroit où ils s’étaient déshabillés, n’attend pas Franck et détale comme s’il avait vu le diable, Eric aux trousses.

11h20 au parking, pari tenu. 40km, 770m D+

Trace: https://drive.google.com/file/d/1SgDlfr4MsNfUQciC0kz8W_IEKAxaGoMw/view?usp=drive_link

27/04: les envahisseurs

Sous le soleil les températures sont fraîches et on ne sait comment s’habiller. Eric est venu en bas mi-long mais chaussettes longues. Francis a préféré un bas court mais a enfilé la thermique… au-dessus d’une autre couche. Aurélien est en court avec manchettes et les autres (Bruno, Gaël, Stéphane et Pat’) en mi-saison.

Eric annonce qu’il trace aujourd’hui. Gaël dit qu’il suit. Les autres disent « pas d’accord ». 2 contre 5, la majorité l’emporte, ils suivent Eric.

Il faut croire que la majorité avait raison car à peine descendu à Malfosse par le chemin blanc, il les emmène dans un beau bourbier bien labourré par les canassons qu’ils croisent d’ailleurs. Ceux-ci leur ont laissé d’odorants cadeaux sur le single, comme ça les voilà baptisés.

Le sol est encore gras dans le bas et les premières difficultés font des victimes. Arrivés au-dessus de Feches, les pneus embarquent des boudins de boue de 2 cm de large… de chaque côté.

Direction Lebetain par le sentier au-dessus du lotissement, où une bonne âme (ou un descendeur frustré) a coupé les 2 arbres en travers. Gaël emmène Aurélien par le single qui longe la route pour descendre à Lebetain tandis qu’Eric décide soudainement d’aller à Saint-Dizier, histoire, il faut le dire, de niquer les 2 imprudents qui ont crû pouvoir prendre la tête.

Le groupe se reforme et emprunte un magnifique single mais bien trop lentement pour Bruno qui demande s’ils attendent quelqu’un. Eric les emmène dans un chouette tronçon enduro et … ils perdent Franck qui a décidé de faire bande à part, estimant ne pas vouloir descendre pour remonter. Bon c’est un peu le but du vélo tout de même…

Voilà notre Franck à Saint Dizier alors que le groupe avance vers Croix. Inquiet, il téléphone au Président qui l’enjoint de les rejoindre un peu plus loin.

Bon faut pas se le cacher, ça râle dans le groupe: les zigzags d’Eric ne sont pas du goût de tous. Mais l’ignorant qui regarde le bout de son pneu n’a pas en tête le plan du visionnaire qui regarde loin. Et Eric regarde loin, survolant les difficultés. Pas comme Aurélien qui plante sa roue avant dans une ornière bien grasse entraînant avec lui Gaël qui le suivait de trop près.

Suit ce que certains dans le groupe considèrent comme un moment d’égarement mais Eric comme une liaison vers la trace qu’il voulait reconnaître. Une fois sur son parcours sa satisfaction est de courte durée car Bruno change la direction en garantissant que c’est plus court, même si ça monte sur 1 km.

Gaël prend la tête en un long et laborieux travail de danseuse, ce qui énerve Bruno et Eric qui se lancent à sa poursuite pour, faut pas déconner, ne pas la lui laisser.

Aux pas du diable, tout le monde prend son souffle et prépare son effort. Gaël et Eric buttent à 1 m du sommet, ils se retournent espérant voir un exploit derrière eux mais la déception prime devant ce fatras de VTTistes à pied. Les vannes fusent.

Les 2 compères décident de descendre dans le bourbier à Croix et les autres non. Le groupe se scinde mais se regroupe avant le single du KOM à Dorian (à qui? 😉 ) pour finir chez Francis pour une bière bien méritée.

50km / 1000m d+.

Trace: https://drive.google.com/file/d/14XCVcjd8ML5XMDUGHp6M-7E-sGgCHbqV/view?usp=drive_link

30/03: les Frontaliers

5 VTTistes sous le soleil au RDV ce dimanche: Xavier, Franck, Pat’, Aurélien et Gaël.

L’idée de Gaël: aller faire un tour en Suisse. Direction les Champs Houdins puis Croix. Gaël adopte une petite variante près de Villars le Sec pour rejoindre les Pas du Diable, mais sa main heurte une branche. Sanction immédiate: c’est la chute et le roulé boulé dans les ronces.

Il repart un peu sonné et rate le chemin qu’heureusement Xavier, boussole du groupe, retrouve. Dans le single des Pas du Diable, est-ce le malin qu’ils croisent? En tout cas, le personnage est tout aussi séduisant et bien habillé comme un jour de messe. Aussi ils ne trainent pas et continuent leur chemin.

A droite dans le raidard une haie d’honneur de traileurs les acclament mais déception ils n’ont pas prévu de ravito au-dessus.

En Suisse Gaël redemande l’aide de Xavier, il a oublié de télécharger le fond de carte Suisse. Ils rentrent par la frontière près de Croix, où Aurélien excelle dans la boue. Ça lui manquait.

Un petit passage par la table d’orientation de Vandoncourt pour la photo et Franck et Aurélien dévalent la coteau. Pat’, Xavier et Gaël rentrent par Montbouton. Sur le sentier ils croisent Alicia et Mickaël, puis vont s’encanailler sur dans le Grammont à jouer à saute les troncs.

34km, 683m D+.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1u9dJzm0APoh1vjnCZGVdIe8oFEhVhnis/view?usp=drive_link

23/03: les hirondelles

Les hirondelles reviennent avec le printemps, les VTTistes aussi. De là à dire que ce sont de drôles d’oiseaux…

Au RDV ce matin au milieu des voitures des footballeurs: Pat’, Francis, Franck, Eric, Gaël. Ce dernier leur propose une ‘tite boucle sympa au départ de Nommay sur la VTTrace de 2002.

Franck décide de les emmener par les bois. Du gris, le ciel passe au bleu. Ça doit donner un humeur guillerette à Franck qui multiplie les détours et fait monter l’inquiétude dans le groupe. Seront-ils rentrés pour le gigot?

Mais les sentiers sont si beaux et (déjà) si secs qu’ils ne boudent pas leur plaisir même si Francis commence à regretter de s’être habillé en hiver. Franck leur montre ses plus beaux singles et raconte ses souvenirs, telle la fois où, dévalant cette descente avec un copain, celui-ci finit dans le canal. A quelle rigolade… sauf pour le copain mouillé

Bref de bosses en arbres les voilà à la base de loisir de Brognard avec pas mal de retard sur l’horaire théorique. Du coup Gaël adapte la boucle pour rassurer la troupe et c’est avec beaucoup de plaisir qu’ils enchaînent les singles sans fin du secteur.

De retour au point de départ, ils rentrent par la piste, en temps et en heure. Le gigot ne sera pas trop cuit.

49km, 730m D+.

Trace: https://drive.google.com/file/d/15NC1VOSi7sngjaQTZFla1QTNhHYhSUS9/view?usp=drive_link

09/03: fin d’hibernation

Vous avez déjà vu comme le moindre rayon de soleil réveille les mouches? C’est dingue, mais à peine ça réchauffe qu’elles sont toutes là, sorties de nul part, à se taper la tête sur les vitres. Ben c’est pareil à PASSION VTT. Un rayon de soleil, un peu de chaleur et hop, ça vole, ça tournicote, ça bzzz. Mais ça fait plaisir de revoir tout ce petit monde sorti de sa grotte chaude et douillette.

Non, nous ne pouvons nous lasser de vous rapporter les arguments anti VTT l’hiver des frileux: « aime pas la boue », « froid mes petons », « vélo enrhumé », « ouille mes articulations », « courir tout seul, pas avoir à supporter vos tronches », …

Les vélos sont là, non pas rutilants sauf pour Pat et Gaël, mais poussiéreux. Bon Fred et Aurélien ont bien essayé de les salir un peu mais leur air encore endormi ne plaide pas en leur faveur.

Mais comme toujours, le plus volubile, le plus exubérant, le plus excité, c’est Bruno. Franck le regarde stoic arpenter le parking en tous sens et en babouches à cales auto. Quant à Francis, il se dit que rien n’a changé dans ce groupe de fêlés, même si Joris amène un peu (beaucoup) de jeunesse.

En selle! Bruno est parti, rien ne l’arrête il a une de ces patates… Même pas le temps de chauffer le palpitant, direct les Champs Houdins. Gaël est obligé de le calmer, car déjà il fait de la poussière dans les (rares) flaques d’eau.

Il faut un sentier bouché pour lui faire faire demi tour, mais il en crée un nouveau à 5m écrasant ronces et branches. Mais n’est pas Bruno qui veut! Gaël se lance à sa suite et arrache le dérailleur faisant un beau 8 avec la chaîne.

L’atelier réparation est assez compliqué: les pièces ne se dévissent pas facilement, mais heureusement le président a une patte de rechange. L’ancienne brisée en 3 est éjectée mais au moment de remonter le dérailleur impossible de donner à la chaîne une forme compatible avec les engrenages.

Après moultes tentatives donnant à la chaîne des formes que les lois de la physique interdisent normalement, décision est prise de la démonter et alors que Gaël sort son lacet spécial bidouille, l’attache rapide refuse encore et encore de sortir. Après 10 min à les voir batailler Pat’ propose enfin sa pince prévue à cet effet devant un Franck et un Gaël bouche bée…

Ca y est le Scalpel est sur roues et tout marche, miracle. Fuyant les moucherons affamés, ils se régalent sur la Doloise et préfèrent les pierres Gauloises à la papét’. Gaël prend les devant faisant tout pour éviter à Aurélien et Bruno de le doubler quitte à zigzaguer dans tous les sens.

Ils remercient la météo pour un temps si clément car les engins de débardage ont retourné le sentier à Meslières. Bruno continue son festival des pétards avec Joris et les emmène au sentier des bornes. Pat’ fait parler la poudre pour prendre la 3ème place, Gaël d’abord distancé remonte dans sa roue, derrière ça serre un peu les dents, c’est pas une reprise tranquille se disent Franck, Aurélien, Fred et Francis. Mais on connaît la valeur de ces gars-là quand la chaudière sera en route!

Les bornes, ils ont pas le temps de les voir, que les voilà déjà au terrain de motocross. Gaël les emmène par le pierrier, tandis que Bruno et Francis contournent. Bien leur en a pris, le sentier était coupé d’arbres plus gros les uns que les autres. 1m50 de diamètre dira Pat’, un peu marseillais sur ce coup là. Mais bon il faut bien ça pour éveiller la curiosité de Bruno.

Cette première sortie a laissé des traces, il est temps de rentrer pour un apéro bien mérité au soleil chez Gaël.

36km, 750m D+.

7 à 14°, sol dur, soleil.

Trace: https://drive.google.com/file/d/16V0xKnksZApNn0tVIKJlN69TfYpBx91Z/view?usp=drive_link

Screenshot

23/02: ça schlitte dans les bois

Encore un dimanche frais et humide, pour ne pas dire très humide. Les ours hibernent toujours mais les patineurs sont de sortie: Pat’, Julien, Stéphane, Gaël.

C’est la journée des découvertes pour Julien qui étrenne le nouveau Léon Semita, à retrouver bientôt dans Velovert. Mais qui découvre aussi la rue qui monte le long du cimetière des Charmes, puis le sentier au bout du lotissement suivant. Comme quoi, nul n’est prophète en son pays (fallait la placer celle-là dans un compte rendu VTT). Et ce n’est pas fini avec la découverte du tour du champ à Montbouton. Après avoir découvert tout ça, Julien peut mourir en paix. Bon ça attendra tout de même.

Les chasseurs leur indiquent où ils ne chassent pas. Alors ils prennent la direction où ils chassent… et font demi tour lorsqu’ils croisent un chevreuil qui fuit les coups de carabine. On n’est pas des jambons!

Au Pont Sarrazin, ils optent pour la route d’Hérimoncourt. Et quand ils s’engouffrent dans le petit single, c’est encore une découverte pour Julien. Décidément gâté aujourd’hui.

Gaël suit le soleil et les emmène vers le sentier qui descend (vite) à Hérimoncourt. Les dalles et les marches les rappellent à l’ordre, ça schlitte comme on dit, et Stéphane fait même l’honneur de porter son vélo dans les dernières marches pour lui éviter une chute malencontreuse. Quelle prévenance.

Ils longent de manière inhabituelle Hérimoncourt et rejoignent les 5 sapins avec en vue Thulay, puis Roches les Blamont et enfin Meslieres où Julien découvre encore, on s’en lasserait, un single sympa. Il n’est pas difficile de lui faire plaisir.

La remontée vers Abbevillers est plus sélective, l’adhérence manque. Stéphane adopte la technique dite du serpent, sa roue arrière ondule en belles sinusoïdes sur les chemins boueux.

Au-delà de ses problèmes d’adhérence Stéphane rencontre aussi des problèmes d’énergie. Son cassoulet du matin n’aura pas suffi, les derniers kilomètres sont difficiles. De retour à Montbouton, il opte avec Patrick pour la ferme des Champs Houdins, alors que Julien et Gaël ne se refusent pas une ‘tite descente du Grammont version BFC. Le pied!

35km, 900m D+

Temps frais, gris puis soleil. Sol gras.

Trace: https://drive.google.com/file/d/11_WrqGD_DxPfUs4CDqUIVaKWxqNrolzF/view?usp=drive_link

Screenshot

16/02: les pingouins

C’est le retour du froid, on se gèle comme les pingouins sur la banquise. Mais au moins Stéphane, Eric, Laurent, Pat et Gaël peuvent espérer un sol dur. C’est d’ailleurs ce qui a motivé Eric à sortir son VTT qu’il surnomme affectueusement Frankenstein tant il est composé de pièces diverses et variées mais plus d’origine.

5 c’est pas mal mais il manque du monde à l’appel. Alors ils se disent qu’ils vont aller sonner quelques cloches.

En prenant la direction de Badevel, ils doivent contourner un arbre. Eric montre le passage mais se bloque, ne décale pas et s’étale comme un étron tombé d’un séant bien haut. Il tente bien d’amadouer le groupe déjà frigorifié par la descente avec un café chaud, mais rien ne détournera Laurent de sa mission: toujours devant, toujours plus vite.

Au carrefour du chemin de Saint Dizier, le sol bien labouré par les engins forestiers les guident. Quand Laurent propose de grimper le raidard vers Lebetain, les autres lui demandent s’il va bien et optent pour la descente vers Feches.

Parfois le dimanche ils tombent sur un chasseur. Cette fois ils tombent sur une garnison! Casquette vissée sur la tête et veste orange orange, en file indienne, ils ne sont pas si différents des VTTistes de PASSION VTT. Mais la comparaison s’arrête là.

Nouvelle direction et destination: rue de la Truche. Pas de signe de vie chez Franck, pas de signe de vie chez Bruno. Les 2 ont prévu le coup et se sont certainement planqués à l’approche des braillards.

Devant si peu de bonne volonté, ils décident d’aller inspecter le chantier de Bruno. Ils constatent un avancement acceptable mais aussi un sacré bazar. Il va falloir faire des rappels à l’ordre sur la sécurité. C’est pas le tout de charrier des tonnes d’agglo!

A Fesches, les costauds grimpent le raidard de l’Inter’, variante Galibier pour Laurent et Eric, variante Planche des Belles Filles pour les 3 autres. Au-dessus ils inaugurent un sentier devant lequel ils passent depuis des années mais qu’ils n’ont jamais emprunté. A revoir en été.

S’égarant un peu dans les bois, ils atterrissent finalement pas loin de chez Aurélien et vont le déloger de son doux logis. A sa tête il n’est pas convaincu de les accompagner, alors ils repartent vite pour éviter à Stéphane de combler les 50m qui le séparent de sa maison.

Il y a foule ce matin dans les bois. Promeneurs, canidés, et même un VTTiste qui est une vieille connaissance: Alex B. Ce dernier les accompagne pour un bout de chemin.

A force d’essayer de suivre Eric et Laurent dans leurs fulgurantes accélérations, Stéphane a vidé sa batterie. Et pas de chance, celle-là ne se recharge pas avec une prise. A Vandoncourt, il rentre accompagné d’Alexandre n’écoutant pas les promesses de Gaël qui, fidèle à son habitude, assure qu’il n’y a plus que de la descente.

Nos 4 compères se disent que la table d’orientation et le Grammont feront un beau final, et c’est le soleil qui les accompagne jusqu’ à la fin.

32km, 661m D+.

Trace: https://drive.google.com/open?id=1YYMHx6u-WikvLMzBeB5rjKAchJKH5X5Z&usp=drive_fs

09/02: le Père Noël est une ordure

Salut,

On ne sait pas ce qui a pu le décider, mais il est de retour. Qui ça? Éric, déguisé en Père Noël, retrouve fièrement Pat’, Xavier, Laurent et Gaël.

Gaël ne doit pas rentrer tard, et ça arrange étrangement tout le monde. Alors go pour un petit échauffement route de Saint Dizier. Pas de Fred à l’horizon, direction Montbouton. Laurent continue son apprentissage de Padawan (voir compte rendu du 02 février) et s’envole dans la montée, alors que les 4 autres bifurquent à gauche. Ça va finir par rentrer.

Au Pont Sarrasin Eric prend les commandes par le monument aux morts mais l’état du sentier qui suit les inquiète. Ouf ça passe sans trop de galère. Pas le temps de s’arrêter, Eric poursuit vers les ornières. Ils contournent Croix par le sud et Eric ne peut résister à l’appel de la Suisse. Pire, suivre la frontière ne lui suffit pas et il force le président à faire demi-tour en s’enfonçant en terre helvète.

Son objectif ce sont les pas du Diable. Ça commence mal, les engins forestiers ont ravagé le beau single à Croix. Ils doivent veiller à ne pas tordre leur dérailleur dans les branches qui jonchent le sol.

La première option pour Lebetain est bouchée, il se rabattent sur la seconde heureusement nettoyée. Enfin presque, puisqu’un arbre ou deux bloquent le passage. Ils repassent un petit moment en Suisse, et rentrent finalement par Feches, où Eric les quitte et ensuite par la Mosquée de Beaucourt où Pat’ et Laurent font parler la puissance depuis le bas.

Trace: https://drive.google.com/open?id=1UCCXjyGuBXNaYy8OEsSS_C9_3ObSKUJO&usp=drive_fs

02/02: les pénitents

Ce WE c’est ski de descente à Châtel pour le club. Mais alors que certains s’amusent dans la poudreuse, il y en a qui sont d’astreinte pour l’entretien des chemins, même si l’herbe ne pousse pas beaucoup en ce moment.

Au RDV: Laurent, Fred, Xavier, Aurélien et Gaël.
Au programme: le belvédère de Mandeure, tant pour son point de vue que pour la Macumba.

Départ bien froid par la route mais Laurent les emmène dans les bois pour se réchauffer. Il faut bien ça car après il va falloir faire un peu de piste pour rejoindre Belchamp. Trop d’ailleurs car Gaël se plante et les emmène du mauvais côté d’Audincourt. Il va falloir réviser un peu.

Mais voilà qu’ils franchissent le Doubs pour contourner les pistes d’essai. Là encore il va falloir réviser car ils ratent encore un embranchement. Après consultation Laurent les oriente sur le bon sentier, alors qu’Aurélien les quitte pour aller préparer le gigot.

Au château d’eau, 3ème tentative du président: à droite qu’il dit. Laurent, échaudé, hésite mais cette fois c’est la bonne et ils évitent un long bout de chemin/route peu intéressant pour un sentier très agréable, à part un raidard boueux qui les arrête comme du papier tue mouche arrête les insectes.

A Mathay, ils se recueillent devant la chapelle et prient pour les âmes perdues dans les massifs Alpins. Puis après s’être alimentés, ils s’attaquent à la falaise. Laurent les guide mais hésite, fait un aller retour à la recherche d’un carrefour qu’il ne trouvera jamais. Tant pis ça devait être ailleurs, et peut-être même quelqu’un d’autre.

Le belvédère leur délivre son habituel point de vue, malheureusement non ensoleillé ce jour. A eux la Macumba! Las, au moment de s’engager, de la rubalise en interdit l’accès. C’est pas un bout de plastique qui va les arrêter et après avoir contourné l’obstacle et enjambé quelques arbres au sol, c’est avec bonheur qu’ils serpentent la piste sinueuse.

Descendre c’est bien, mais ça finit toujours par remonter. Gaël guide mais Laurent ne peut s’empêcher de prendre la tête dans la montée suivante. Quelle erreur! Alors qu’il augmente son avance, Gaël fait une « Bruno » et prend à gauche « oubliant » de prévenir Laurent que Xavier dans sa bonne âme rappelle. Quand on ne peut pas gagner, faut changer les règles!

Enfin Bondeval! Laurent s’inquiète de l’heure avancée. Gaël rassure: Seloncourt, Vandoncourt, Montbouton, plus que de la descente, couvert par les rires de Xavier et Fred.

Laurent n’apprend décidément pas vite aujourd’hui il reste sur le chemin principal, snobant le sentier à gauche que Gaël s’empresse d’emprunter. Bim, nouveau demi tour pour le doubiste.

En cette période de nature au repos, ils empruntent l’un des plus beaux singles de la région, joueur, empierré, sinueux, et rentrent sur Seloncourt.

Alors que rien ne l’y obligeait une voiture frôle le Président, échappant de peu à la chute, comme quoi on est plus en sécurité dans les bois.

Est-ce le trop plein d’émotions ou la gestion moins efficace? Toujours est-il qu’arrivé entre Seloncourt et Dasles Xavier et Fred déposent le Président qui les rejoint… vidé, batterie en mode tortue.

Dans Vandoncourt Fred les quitte et les 3 gaillards rentrent satisfait de cette reprise qui se voulait « tranquille ».

45km, 827m D+.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1hjlfEdB7zzAUw8E7Ayo3NUwFSWZh0nam/view?usp=drive_link

22/09: la MTB pour les adhérents

Dimanche 30 adhérents et leur famille se sont retrouvés pour revivre la MTB.

À 8h30 ça commence bien: après 500m Bruno a perdu tout son groupe sur le parcours 41km. Ils pensaient qu’ils étaient sur le 30km… Cette petite erreur corrigée, ils ont très vite retrouvé leurs vilaines habitudes: à fond. Plaisir garanti sur ce parcours très vivant.

A 9h, Gaël emmène le groupe 30km. Ravis par le super parcours concocté par Franck, ils en profitent pour prendre des photos. Ils croisent même Guillaume et sa charmante moitié partis faire cavalier seul. Mais pas le temps de traîner, ils ont rendez vous.

A 9h30 les marcheurs sont sur le départ. Guidés par Stéphanie, ils déchantent un peu lorsqu’ils arrivent dans la boue. Elle sera fatale aux chaussures de Jocelyne qui rendent l’âme.

Hasard incroyable ou réel talent, les Vttistes de retrouvent avant la fin du parcours.

Un apéro copieux et bien arrosé est servi pour un super moment de convivialité.

Traces: https://drive.google.com/drive/folders/1p_060peoie4i8ZZPM538fJtdxVVs3M5K