C’est sous une météo grisâtre et humide que se tient la journée convivialité été. Après les fortes chaleurs, c’est du froid: 16°C!
Au programme: – une rando VTT depuis Beaucourt, puis depuis Chevenez organisée par Aurélien – une marche depuis la cabane vers les traces du dinosaure Tripo-Tanus organisée par Xavier
Pendant ce temps à la cabane Régis et Gaël préparent les braises sous un feu d’enfer.
Magie de la coïncidence ou timing parfait, les 2 groupes arrivent quasiment en même temps pour l’apéro.
Tout est prêt, la bière est fraîche et les braises sont chaudes. C’est mieux que l’inverse.
Après s’être raconté leur été, les brochettes, merguez et saucisses blanches sont grillées à la perfection pour accompagner les salades, bien arrosées de vin rouge dans la cabane, réchauffée par un bon feu.
Le repas se poursuit par d’excellents fromages et des desserts maison. Un régal!
Alors que le temps s’améliore après 3 semaines vraiment pas terribles, les rangs se sont clairsemés en raison des vacances: Pat’, Aurélien, Stéphane et Gaël.
Alliant l’utile à l’agréable, ils décident de faire le parcours 43 de la MTB car il y a une section qu’ils n’ont pas encore reconnue: la cabane des douaniers.
Gaël avait dit « sortie tranquille ». Pat de retour de vacances, n’est pas de cet avis. Certes ils roulent raisonnablement, mais très vite il y a 1 raidillon…bien raide. Et déjà à Badevel 2 victimes posent le pied: Pat’ et Stéphane. Et désormais la punition de celui qui pose le pied à terre, c’est de nettoyer les chemins. Allez au boulot les 2!
Ils filent vers Lebetain contrôlant que tout va bien, puis direction le Val de Saint Dizier qu’ils contournent via la variante du single. Celui-ci est raide en montée, mais là ils apprécient de le descendre.
Puis c’est l’extase devant la vue sur les Vosges… complètement bouchée! Mais où sont les Vosges? Disparues dans un amas de moutons nuageux. De rage ils repartent vers le futur ravito de Vandoncourt. Première boucle validée!
Dans leur décompte d’arbres, c’est la papet qui tient la palme. La descente comme le ruisseau sont encombrés. Après un peu de gymnastique, les voilà sur le route de la cabane du douanier et c’est une pause bien méritée au soleil lorsqu’ils y arrivent. Stéphane dans sa lancée serait prêt à continuer, mais l’appel de l’estomac est plus fort.
Eric a bien bossé sur le sentier vers la Chaifferie, ça passe bien partout. Seul le très gros tronc reste, mais c’est aussi une belle occasion de travailler son équilibre. On le garde!
Il font un peu de nettoyage en remontant depuis le terrain de cross, mais là aussi il y a eu du bon boulot. Le retour vers Vandoncourt valide cette 2ème boucle.
Il est l’heure de retourner vers Beaucourt: Gaël a pris sa potion et part comme un dératé. Au Grammont il rentre dans des souvenirs de singles envahis d’herbes, slalomant entre les souches qu’il connait par coeur. Ce n’est pas le cas d’Aurélien qui finit sur le cadre, atterrissant sur une partie bien sensible.
Il n’y a pas grand monde à la base nautique de La Praille à Mélisey quand les Beaucourtois arrivent. Tant mieux ils seront garés tout près.
Eric et sa famille patientent quand arrivent: la team Léon (Micka et Christophe), la famille Bera (Perrine, Laurent et Félix), la camionnette du club (Sylvie et Bruno, Véronique et Xavier, Claude, Gaël, et … Oé le toutou de la famille Martin).
Ce sont donc 9 VTTistes et 4 marcheurs plus un canidé qui vont arpenter le secteur des 1000 étangs sous un ciel bleu légèrement ennuagé. Temps parfait.
Côté marcheurs, il y aura de l’orientation. La parcours promis balisé l’est aléatoirement et il faut recourir au GPS pour essayer de s’en sortir à certains embranchements. Mais au final la petite troupe trouve son chemin et progresse comme prévu au milieu des étangs, arrivant bien avant les VTTistes.
Ceux-là s’embarquent pour une sortie de 45km / 900m concoctée par Xavier, qui est venu en repérage quelques jours plus tôt.
Le début du parcours n’est pas bien compliqué, ce qui endort la vigilance de certains sur quelques passages raides: certains posent le pied, Eric pose les fesses.
Il s’est mis en tête de vérifier s’il y a bien 1000 étangs mais finalement se perdra dans ses comptes pour en sortir tantôt 36, tantôt 38.
Le profil est plutôt montant et chaque côte est l’occasion pour Bruno de faire une remontada et de sprinter avec Laurent et Félix. Les autres gèrent car ce n’est que le début.
Claude est fier de son dérailleur tout neuf, son vélo a repris de la valeur. Et, fait rare, il ne sera victime d’aucune avarie.
Les kilomètres passent et la confiance s’installe. Micka relâche son attention dans une descente et la sanction est immédiate: il pince le pneu arrière. Une vaine tentative de rebouchage du trou fait apparaître une 2ème fuite sur la tringle: chambre à air obligatoire! Pour éviter une nouvelle déconvenue, Gaël le gonfle à 4 bars!
Le paysage est plein de surprises. Après une petite montée assez raide, ils découvrent un étang inattendu à cet endroit. C’en est tellement renversant que Bruno en tombe sur le côté à l’arrêt.
Les voilà bientôt au point le plus haut, et presque au nord de la boucle. Cette fois, ils sont bien sur le plateau. Ils entament une première descente mais faux espoir ils en remontent autant aussitôt. Puis enfin la dernière partie, bien que vallonnée, est descendante. De plus le terrain devient plus sinueux, les singles font leur apparition et quelques passages empierrés requièrent de l’attention. La moindre inattention, comme cette ronce qui dépasse, et c’est la chute immédiate, comme Christophe en fait la démonstration, sans gravité, devant tout le monde.
La fin approche, Perrine s’est accrochée tout du long démontrant un bon coup de pédale, et rappelant à Laurent que c’est les soldes en ce moment, et qu’un nouveau VTT ne ferait pas de mal.
Ils sortent enfin du bois et rejoignent la route, d’abord en groupe, puis Eric prend de la distance, rattrapé par Gaël. Mais les 2 ne se sont pas rendus compte que derrière le peloton s’est lancé à leur poursuite et les fusées allument leur mèche. Ça part dans tous les sens mais aux Champs-Mélisey, c’est Laurent qui s’impose!
La suite, c’est apéro et pique-nique où chacun relate ses exploits de la journée.
Petit groupe ce matin: Eric, Pat’, Stéphane, Bruno, et Gaël. Claude est là aussi, mais avec une bien étrange monture plus destinée à la route. Il leur explique qu’il a essayé sans succès de fabriquer un dérailleur « Frankestein » avec plusieurs dérailleurs, mais ça n’a pas marché (voir compte-rendu du 9/7).
Cherchez l’intrus
Il a droit à une nouvelle moquerie de ses compagnons, qui comme son vélociste, le pressent d’acheter un nouveau vélo. La période est propice!
Ce matin c’est reconnaissance du 32km de la MTB préparé par Franck, puis de la première boucle du 42.
Malgré la trace GPS, Gaël bafouille un peu près de la zone des Popins mais ils retrouvent le parcours. C’est un peu gras et il y a quelques dérobades qui appellent à la prudence.
La première partie est agréable à part un passage encombré de branches, mais ça se gâte en approchant Audincourt. Le single est envahi de branches et pire d’épineux. Aie, ouille!
C’en est trop pour Bruno qui exige qu’on sorte de cet endroit et refuse d’en faire plus. Ils coupent pour retrouver la trace mais la suite n’est pas mieux. Zone à revoir!
Au point de vue de Vandoncourt, Stéphane invite à l’apéro chez lui. Mais comme il est un peu tôt, et que faire la première boucle du 42 depuis Beaucourt va prendre du temps, Gaël a une idée brillante: « on a qu’à la faire à l’envers ».
Des mots à l’acte c’est tout de suite moins facile mais après une petite erreur les voilà au Val de Saint Dizier. Dans la montée, Stéphane se croit au tour de France: il a le pourcentage et les cris des supporters! Mais il craque, et Bruno et Pat’ vont chercher les points, tandis qu’Eric continue à l’encourager.
Lebetain ne lui fait pas du bien, et vient s’ajouter Eric à son tour qui passe en mode éco. Ils décident de rejoindre Dampierre, Pat et Bruno remontant à Beaucourt pour prendre leurs véhicules, les Gaël et Stéphane suivant Eric qui les guide.
Tout ce petit monde se retrouve chez Catherine, où l’on boit de bonnes bières et l’on mange de bons saucissons!
Reconnaître! Il faut reconnaître la boucle du 56 de la MTB qu’a dit Gaël. Et après le jardinage de la première tentative, celle-ci doit corriger le tir.
Aurélien, Xavier, Dorian, Claude, François, Eric, Pat’ et Gaël: voilà une équipe comme on en n’avait pas vue depuis longtemps. Manque Philippe B., toujours en convalescence et quelques habitués (Christophe, Micka) ou moins (Alexis, Martial) qu’ils attendent avec impatience.
Pour ne pas que la monotonie s’installe, Gaël les y emmène par un sentier qui n’est pas au programme de la MTB 2023: Abbevillers, le Bannet et les pierres Gauloises.
Mais à Abbévillers, appel de Bruno: il a raté le départ mais veut les rejoindre depuis le point de vue de Vandoncourt. Gaël lui propose de se rejoindre à Glay, avec un pif qui mériterait de jouer au Loto.
Est-ce que c’est ça qui n’a pas plus à Claude, toujours est-il qu’alors que les VTTistes s’élancent dans le jouissif single dans l’ordre du niveau d’inconscience le plus élevé (Aurélien, Gaël, Eric, …), lui décide de faire une pause au milieu.
Alors que les autres s’impatientent et regardent arriver les moins fous, Dorian leur apprend la terrible nouvelle: patte de dérailleur cassée pour Claude. Claude finit par arriver et ouf la patte n’a rien! C’est le dérailleur qui est coupé en 2! Sans compter qu’un rayon a traversé la jante et qu’il a crevé.
Se remémorant une longue suite de casses avec le Spé, ses compères se moquent de lui, mais bon prince, Gaël appelle Bruno déjà sur le vélo au lieu de RDV. Celui-ci rapplique fissa en bon Saint Bernard, accueillant Claude d’un « connard » affectueux.
Les choses ne sont pas si mal faites, Claude repart en camionnette et Bruno en vélo. Dorian les quitte, il a poney.
Enfin les voilà à Glay et la reco de la boucle commence. Les premières adaptations sont validées avec même la découverte d’un single. Puis la fin est moins réussie et nécessitera une troisième tentative que Bruno décide de prendre en charge.
A Villars les Blamont ils rencontrent une dame qui leur demande s’ils peuvent poser pour une photo et faire office de modèles. Ils sont tout émoustillé et commencent à se déshabiller… mais la propriétaire de la maison les arrête: c’est pour publier sur Air B&B!
Dommage, mais au moins l’étourdi qu’est Aurélien, qui a perdu une de ses gourdes dans le Grammont peut refaire le plein d’eau.
Après avoir validé l’implantation du ravito avec une vue imprenable, ils déroulent l’ exceptionnel single jusqu’à la Chaifferie, où Gaël passe en mode 0 barres sur sa batterie interne. La fin va être longue.
Ce n’est pas le cas de François, qui après avoir adopté un rythme tranquille, finit par des accélérations terribles. Quel finisseur!
Claude, qui est déjà rentré, propose l’apéro par SMS, et Aurélien, François, Bruno et Gaël s’y rendent. A peine arrivé Gaël rentre son vélo dans le camion de Bruno, trop cramé qu’il est pour remonter sur Beaucourt, et c’est encore Bruno qui joue le Saint Bernard.
Encore une belle brochette de VTTistes sont présents à la traditionnelle rando du BOS ce dimanche 2/7, malgré une légère pluie qui s’estompera vite.
Et aux 11 ayant répondu présents au RDV de 8h30 pour les grands parcours (Pat’, Micka, Alain, Stéphane, Eric, Claude, Bruno, Christophe, Philippe M., Aurélien, Gaël), s’ajoutent 4 VTTistes partis sur les petits parcours (Martial avec sa fille, Xavier avec Louis), plus des marcheurs.
Valeureux, mais pas téméraires
Heureusement que nos VTTistes ont été prudents et ont téléchargé la trace car le balisage est … aléatoire, voire joueur! D’autres participants moins connaisseurs se seront laissés piégés et auront jardiné, alors que certains étaient même à contresens!
A l’approche du premier ravito, Bruno fait une démonstration de passage d’une montée empierrée, mais dérape de l’arrière, glisse finit au tas, non sans incriminer Gaël et Christophe qui n’avaient rien à faire devant lui! Mais les plus forts ce sont Pat’ et Claude, qui bien qu’étant derrière avant la montée, sont premiers au ravito! Dès qu’il s’agit de manger…
Est-ce la pluie, le balisage ou les 2, mais Pat’, Claude et Alain optent pour le 42, avec des excuses diverses (piscine, messe, anniversaire, …). Les autres poursuivent sur le 54.
Nos valeureux héros s’en sortent bien, sauf Bruno qui dans une tentative de montée impossible dérape encore de l’arrière et s’écrase lourdement au sol… sous les regards et les rires de ses compagnons. Ça l’énerve, le Bruno.
Après une sage rando où le soleil fait son apparition, les vieux démons finissent par réapparaître. Bruno et Aurélien se tirent la bourre avant le ravito de Glay, et toute la puissance du jeune Dampierrois ne suffira pas à venir à bout du rusé Bruno qui finit par prendre le large.
Pas de chance pour Philippe qui crève avant le ravito. Le groupe a explosé, et alors que Gaël, Micka et Christophe s’apprêtent à repartir, Eric le samaritain arrive avec Philippe. Ils ont à peine le temps d’avaler une bouchée que les 3 autres sont sur le vélo.
La montée des pierres gauloises est compliquée car encore humide, et longue. Certains commencent à souffrir, le groupe s’étend. Eric prend le large. Certainement des origines marines.
Ils se regroupent au dernier ravito et rentrent en groupe pour un apéro offert, bien mérité. Au moins la boisson leur permet de supporter sereinement le festival des grandes gueules et leurs exploits!
En cette magnifique matinée, c’est une sorte de retrouvailles pour l’équipe. Et il manque encore du monde: Eric, fin chaud, Aurélien, bouillant, Julien, fier sur son Mondraker (à retrouver dans le prochain vélovert 😉 ), Stéphane, la bave aux dents, Xavier, le regard acéré, Fred, prêt à envoyer du lourd, Franck, plus force que tranquille, Gaël, … en retard.
Eric raconte ses mésaventures du matin, une crevaison, et montre fièrement la mèche qu’il a introduite pour boucher le pneu. Ce qui laisse un grand regret à Julien qui a une fuite sur le flanc du pneu arrière. La mèche n’est pas indiquée ici. Il se résout à essayer de boucher au préventif en mettant le Raze RR dans des positions improbables.
Top départ! Au menu la 2ème boucle du 40km de la MTB 2023 et la boucle du 56. Direction, le sud, comme dirait Galabru.
Les Champs Houdins les voient passer à allure raisonnable, sauf pour Eric, qui à le pied qui le démange. Ils rejoignent un collègue qui les abandonne alors qu’ils prennent la direction de la table d’orientation de Vandoncourt. C’est là que le test de la MTB commence.
A Abbevillers, Julien jette l’éponge, trop de fuite au pneu. Pour la troupe, direction la papét, presque toute propre. Par contre en bas dans le ruisseau, c’est encombré d’arbres. Ils quittent le 40 pour attaquer le 56, et sont accueillis par un mur… labouré. Tout à gauche, bec de selle, cardio au max: certains y parviennent, d’autres calent, mais tous en bavent.
Gaël rate la bifurcation prévue mais ils rejoignent la trace sur le plateau du dessus. Eric signale un léger problème: pédalier desserré, et pas la bonne clé. Il fait la manche auprès des copains et finit par trouver chez Stéphane l’embout miracle qui lui permet de continuer.
Dans la descente vers la Roselière Gaël, en éclaireur, a comme un pressentiment sur la compression qu’il aperçoit et ralentit… pour découvrir in-extremis un fil torsadé non signalé barrant le chemin! Freinage d’urgence, fil sous la gorge mais pas de chute, ouf! Quelle inconscience celui qui a mis ça…
Ils reprennent la trace pour le 2ème mur, tout aussi labouré par les engins forestiers, et entrent dans la jungle. 2km d’herbes hautes, d’arbres à enjamber, d’ornières, de flaques, un bonheur. Gaël poursuit penaud, mais pourtant personne ne bronche. Résignés?
De retour sur un vrai chemin, Eric décide de rentrer, il doit aller préparer le gigot de midi. Le groupe poursuit pour rejoindre Villars les Blamont après un peu de portage là aussi.
L’attente en valait la peine. Une fois sur le sentier des bornes, ils déroulent un single de malade, sec, flow, légèrement descendant, le pied! Les moucherons s’accumulent sur leurs dents tout sourire.
A Abbevillers, Xavier applique la technique dite « de Bruno », à savoir couper pour doubler tout le monde. Fred les quitte et ils reviennent à Vandoncourt, parcours bouclé, mais à revoir.
Ils en ont assez, mais Gaël insiste pour descendre le Grammont, son petit plaisir du dimanche. Stéphane contourne, Xavier et Franck suivent pour un tour de manège dans le tourniquet.
Pendant ce temps là, quelque part dans les bois, Eric gazouille seul au guidon de sa machine. Il fait beau, il y a des petites fleurs, les abeilles butinent, le soleil brille, quand paf, un arbre traverse, Eric chute sur la tête et casse son joli casque vert. Une bonne occasion de choisir une autre couleur! 😂
Martial, Alexis, Nathan et Corentin portaient fièrement les couleurs du club.
Corentin monte sur la plus haute marche! Bravo Coco!
Transfrontalière (Boncourt, CH)
Claire et Fred en éclaireurs, et Eric, Aurélien et Gaël représentaient le club en Suisse. Roulant mais avec quelques beaux singles. C’est pourtant sur un chemin blanc que Gaël cassait sa roue arrière, heureusement à 2km de l’arrivée.
VTTrace par l’ASCAP à Montbéliard
Perrine, Félix et Laurent Béra se sont éclatés sur un super parcours de singles.
A partir de 2 éditions, ça devient une habitude. Vendredi les randonneurs avaient invité les membres du club à une superbe soirée organisée autour d’une marche et d’une rando VTT en parties nocturnes, suivies d’un barbecue.
Les adhérents ont répondu présents en nombre: 50 participants, répartis équitablement sur les 2 activités.
Aurélien avait tracé un parcours VTT accessible à tous mais pas pour autant facile pour tous. Mais il n’y a eu aucun abandon et aucune perte.
Philippe a mené le groupe de marcheurs qui a dû couper à la fin pour rejoindre la base à l’heure.
A 23H tout le monde se rejoignait chez Véro et Xavier, où Bruno officiait au BBQ pour une soirée mémorable.
Trace gps VTT et Marche: https://drive.google.com/drive/folders/1KNFOAsGcU2D8uuCskr7hHMr8h1Wtdl6B?usp=sharing