21 VTTistes de l’école et des groupes du samedi et du dimanche matins sont venus profiter des 2 superbes circuits de la rando du marché de Noël concoctés par Félix.
Reconnus au centimètre, pierre après pierre, racine après racine, les parcours étaient 100% singles, magiques!
Un groupe de 8 est parti sur le 21km et les 13 autres sur le 27, qu’il a fallu réduire pour tenir l’horaire.
Sur un terrain mou mais pas autant boueux que redouté, ils ont pris un grand plaisir, récompensé par les jus et vins chaud, bretzels salés et chauds.
Encore un bon moment de convivialité avec Passion VTT!
Bonnes fêtes de fin d’année, et n’oubliez pas de pédaler.
Comment allier l’utile à l’agréable? En allant faire un des 3 parcours VTT, des 2 parcours route ou la marche de la RandoSclérose à Danjoutin le 08/10.
17 adhérents sont venus participer. Bravo et merci!
Côté randonneurs du dimanche, ils ont fait l’omnibus et pris le circuit au milieu. Aurélien, Stéphane et Gaël sont partis de Beaucourt, non sans admirer la compétition de pétanque qui faisait rage.
Ils ramassent Eric à Badevel, puis Martial à Feche l’Eglise. Petite inquiétude: le parcours 56 VTT croise le trail de Grandvillars… Ça risque d’être chaud.
A Méziré, ils retrouvent Franck, Bruno et Claude. Ça fait +3. Mais comme ils ont perdu Stéphane et Eric partis aux champignons, ça fait -2. Finalement, quel est l’âge du capitaine ?
Ils patientent le temps que les 2 retardataires les rejoignent et poursuivent le parcours jusqu’à Morvillars. Les longues portions de chemins blancs sont heureusement entrecoupées de quelques singles sympathiques. Mais ils restent sur leur faim. Du coup, le rythme s’élève avec ces portions roulantes.
Après Charmois ils font une rapide escale au ravito. Gaël et Eric sont un peu à la traîne et n’ont pas le temps de signaler aux 6 autres qu’ils se sont trompés, et sont partis dans le mauvais sens.
Ils patientent jusqu’à ce que leurs cris et appels téléphoniques parviennent aux oreilles de leurs acolytes et que la raison les poussent à faire 1/2 tour. Ceux-ci sont accueillis chaudement par Eric qui mime avec fidélité le meuglement de la bête à cornes…
Ils déroulent rapidement jusqu’à Danjoutin, où ils régularisent leur inscription. Retour.
Sortis des bois de Danjoutin, les voilà sur un chemin blanc lorsque tout à coup ça s’excite, ça remue, et voilà qu’Eric se retrouve en glissade au sol. Que s’est-il passé? Certains disent qu’il a pris le train Aurélien en marche et n’a pas réussi à monter à bord, d’autres qu’ils l’ont vu la main dans le maillot d’Aurélien. Heureusement pas de gros bobo.
Ils traversent à nouveau la plaine via Meroux pour revenir au ravito. Cette fois ils prennent la boucle du 8 dans la bonne direction, re traversent le canal, suivent de longues lignes droites qui explosent le peloton jusqu’à Grandvillars.
Une fois la voie rapide passée, ils décident de couper car Eric a sorti le mot magique: bière maison. Franck doit être un peu sourd d’oreille car il décide de rentrer.
La fin de la rando voit les dernières forces de Martial s’envoler, il arrêtera à Feches. Loin devant, Eric et Aurélien sont sûrs de se battre pour la victoire. Cependant, à Badevel c’est Bruno, Stéphane, Claude et Gaël qui s’installent les premiers en terrasse.
Où sont passés nos 2 compères? Sans avertir leurs camarades, ils ont opté pour l’option single, et s’étonnent de ne pas voir arriver les autres. Eric s’inquiète, appelle Gaël, celui lui répond qu’il est en charmante compagnie avec épouse et qu’il peut bien aller faire tous les singles de la région. Ils boiront à sa santé!
Voulu depuis longtemps par notre Président, le séjour à Digne-les-Bains prévu en mai a connu un premier report en raison d’une météo exécrable. Bien leur en a pris: cette fin du mois de septembre est exceptionnelle et les températures sont estivales. Premier bon point.
Second bon point, le logement a fait le plein. 8 randonneurs sont inscrits, de quoi remplir également un camion: Bruno, Aurélien, Fréd, Claude, Mickaël, Laurent, Franck et Gaël. Une belle équipe. Ca promet.
L’organisation est militaire: RDV la veille pour le chargement de la remorque. Tout le monde livre son vélo sauf… Claude qui doit encore le préparer (qui a dit bricoler?).
Jour 1
C’est donc par le chargement du dernier VTT (et quel VTT!) que commence la première journée, avant d’aller récupérer les Mézirois et le Montbéliardais, puis le Dampierrois.
La troupe au complet, chargé à bloc, l’attelage se lance à l’assaut de l’A36 pour 600km, avec un Claude affaibli par quelque virus.
Un beau groupe d’aventuriers
Après quelques heures, il est temps de faire une première pause sur une aire fort agréable en bord de nationale.
Les boissons sont des boissons de sportifs…
A l’arrivée, c’est la découverte du village de 450 âmes: Marcoux, Alpes de Haute Provence, à 6km de Digne-les-Bains, idéalement placé dans le domaine des Terres Noires.
les terres noires ne sont pas loin
la vue depuis la porte d’entrée
le clocher qui sonne toutes les heures…
Marcoux, ses maisons, sa vue, son foutu clocher
Les vélos déchargés et les chambres distribuées, c’est déjà l’heure d’aller découvrir le terrain. Tout le monde en tenue pour s’élancer sur le circuit n°17, un œil sur la montre tout de même car les journées sont courtes. Après une approche agréable via un chemin blanc-gris, c’est l’heure d’attaquer les choses sérieuses: premier single, avec une entrée en matière qui calme tout le monde. Si c’est comme ça tout du long, il va falloir être fin sur les commandes.
Las, c’est aussi le moment où Claude s’aperçoit que son frein arrière un peu lâche est en fait complètement mort! L’EPIC a encore frappé. Claude fait demi-tour.
Fort heureusement après une dizaine de mètres, la suite est plus raisonnable. Un magnifique single, certes peu large, hyper sinueux, et à flanc de colline, impose un pilotage tout en finesse. Le pied!
Enfin les voilà, leurs premières terres noires. Incroyable curiosité géologique, le sol singe des vagues figées dans leur mouvement. Surfer sur les vagues devient alors un jeu enivrant, mais attention, il faut rester vigilant, car les pièges sont nombreux.
L’euphorie gagne Aurélien qui s’élance dans un goulet Digne 😉 des tranchées de la première guerre. Mais après quelques virages il s’aperçoit que ça coince au niveau des pédales: mauvaise direction!
Ils arrivent dans un petit hameau, mais le soleil a déjà disparu. Laurent les emmènerait bien sur la suite du circuit, mais les autres le consolent: il faut rentrer par la route, ils n’ont pas les frontales.
Pour une première, c’est une réussite. Note: 7/8 😉
20km, 577m D+.
La soirée se poursuit autour d’un verre d’eau plate et de quelques tranches de pain. Euh non, en fait c’est bière, vin rouge, cake salé, merguez-saucissses et salade pâtes-tomates. Sans oublier 2 petits chèvres de la région et une bonne tarte aux prunes! Au lit.
Jour 2
La nuit a fait ses victimes. Claude ayant alterné toux et ronflements, Bruno a fini dans le canapé. Gaël a juré toute la nuit contre cette foutue cloche qui sonne une fois toutes les 1/2h, et 2 fois l’heure: Soit 24 coups à minuit!!!
6h30-7h: la maison s’éveille doucement, les guerriers se lèvent. L’odeur du café remplace les odeurs corporelles les plus intimes, et c’est parti pour un bon gros petit déjeuner. Les plus gourmands se voient servir une assiette d’œufs brouillés du chef Bruno (enfin préparés par Bruno).
Afin de ne pas laisser Claude en difficulté, un groupe l’accompagne à Digne chez le premier vélociste qui ouvre pour une tentative de réparation du frein récalcitrant. Les autres les rejoignent ensuite. Lorsqu’ils arrivent le mécano essaye une 2ème intraveineuse de liquide de frein mais il doit se rendre à l’évidence, le frein est mort. Décision de le remplacer.
Mais à peine la décision est prise qu’une deuxième mauvaise nouvelle arrive: le disque a dépassé sa côté d’usure depuis longtemps (1.15mm au lieu d’1,6 mini). C’est donc avec un frein AR 100% neuf que Claude repart. Sachant que le frein AV a le même âge, on vous laisse imaginer…
Merci aux cycles Halgand pour leur prise en charge rapide et le dépannage de l’Epic de Claude
Soulagé par cette opération de dernière minute, Gaël insiste pour que Claude rôde ses plaquettes sur le parking, ce à quoi il s’applique consciencieusement. Enfin le sourire est revenu sur son visage. Si Claude est heureux, alors…
Direction le circuit n°7, 30km/1000m annoncé. Forcément ça monte et comme c’est en plein soleil, ça chauffe déjà.
Ils descendent le col et traversent un oued, puis arrivent dans le charmant village de Champtercier où ils profitent de l’ombre d’un arbre pour reprendre des forces.
Le parcours les mènent ensuite à Thoard où les tentations sont grandes: des terrasses les appellent et Claude se verrait bien s’y reposer devant une bonne bière. Mais il y a encore quelques grimpettes, et il faut garder des jambes.
La montée suivante est fort longue, et en plein soleil. Les efforts se font sentir, sauf pour les mobylettes: Laurent, Aurélien, Bruno et Fred.
Un champ de lavande, spécialité de la région
Enfin la montée se termine. Il y a débat sur l’heure de la pause médiane, mais le lieu manque de charme alors ils entament la descente et après un single extra trouvent un lieu adapté: ombre pour la sieste et point de vue pour le pique-nique.
Bien reposé, le ventre bien rempli, ils poursuivent la descente fabuleuse et rejoignent Courbons offrant un panorama magnifique sur la région de Digne.
Ils rentrent sur Digne pour la fin de la première partie de journée et se laissent convaincre par Nadia de boire une boisson de récupération, mais déclinent le couscous.
Cette pause bien méritée est l’occasion de décider de la suite. Comme personne n’a envie de rentrer à Marcoux par la route et qu’il reste encore du temps, ils décident de partir sur la trace n°21 et aller jouer sur les célèbres toboggans!
Ils sortent de Digne par les Thermes et s’élancent dans une ascension de 7km. De lacets en lacets le peloton s’étire puis éclate. Laurent fidèle à son habitude va chercher tous les points puis fait 1/2 tour pour venir encourager les galériens du fond de peloton.
La montée en plein soleil sur le macadam laisse des traces, mais enfin ils vont pouvoir attaquer les choses sérieuses.
Après un chemin blanc, les voici au cœur du massif: les toboggans.
LES Terres Noires
Afin de revenir à une heure raisonnable sur Marcoux, ils délaissent la boucle des Chasseurs qu’ils reviendront faire le lendemain et passent au circuit 17.
Il reste encore une longue montée toute en épingles au cœur du massif, pour enfin basculer du côté de Marcoux. Mais le groupe se scinde involontairement: 6 VTTistes s’égarent alors que Claude et Gaël restent sur la bonne voie.
Le final est somptueux, parfois très engagé, mais ce qui compte c’est le résultat et Claude et Gaël franchissent la ligne d’arrivée avec plus de 30 min d’avance sur les mobylettes, l’histoire du lièvre et de la tortue.
On vous a niqués!
La soirée se passe autour de l’éternelle tournée de bière et en dégustant un excellent plat de lasagnes. Enfin pour Aurélien c’était des lasagnes, pour les autres ça ressemblait quand même plus à un hachis parmentier.
63 km, 1810m d+. Sortie jugée un peu dure en D+, Gaël et Laurent promettent de faire moins le lendemain et visent entre 1000 et 1400, mais avec une petite surprise: les crètes.
Le GPS n’a été mis en route qu’à Digne il manque donc 10km sur l’image
Jour 3
Deuxième nuit. Bruno avait fuit la chambre de Claude pour rejoindre Franck et Aurélien dans la chambre des enfants, mais ceux-ci ont déménagé son matelas manu militari dans le salon. Ce qui ne l’a pas empêché de bien dormir. Le clocher lui, a continué de sonner toutes les 1/2h…
Encore un bon petit déjeuner qui remplit les estomacs avant de prendre la direction de Digne pour le circuit n°8, puis rejoindre le secteur Marcoux pour emprunter le 16. Ca commence mal, il se font doubler par une mamie en vélo de ville! Vexés ils choisissent les sentiers.
Pour ne pas changer, il faut monter. Via un chemin blanc, mais très vite ils bifurquent vers un magnifique single à flanc de montagne. Sinueux à souhait, il les emmène à un point d’eau, car déjà il fait chaud.
Court répit pour les mollets, il faut encore monter. Ils décident d’immortaliser cet instant au milieu des buis.
Bruno insiste pour un selfie très réussi.
Surprise en entamant la descente, un petit village émerge à côté d’une excroissance incongrue. En effet, à côté du village d’Entrages, se tient un terril. Enfin, c’est comme ça que Laurent et Gaël, les 2 nordistes, voient cette protubérance.
Devant
Derrière
Le village est visité pour le plaisir des yeux, quitte à interrompre une lectrice qui comptait bien sur son moment de tranquillité.
Entrages, même pas un troquet. Etrange?
Il faut encore pédaler un moment avant que le groupe ne décide de faire sa pause médiane. Enfin presque tout le groupe puisque Bruno a continué. Inquiet de ne voir personne le suivre il rebrousse chemin pour les retrouver casse-croûte à la main.
Malgré la pause, Claude alerte: les voyants sont au rouge, il ne fera pas 1800 comme la veille. Laurent rassure, il pourra les attendre aux Chasseurs pendant qu’ils iront faire les crètes.
Après un changement de plaquettes AV express pour Claude (remplacement de plaquettes très usées par des plaquettes usées sur un disque épais comme du papier à cigarette…), les voilà qui arrivent aux Chasseurs. Claude est abandonné sur place pour une sieste réparatrice, tandis que les autres s’élancent à l’assaut des crètes.
A partir de là, c’est le trou noir. On ne sait pas ce qu’il s’est passé. Claude, seul témoin de loin de la scène a vu des points colorés se déplacer sur les crètes, mais les participants à cette boucle reviennent le visage fermé, blanc et trempés de sueurs. Pas un mot ne sortira, chacun étant muet comme une tombe, emportant le lourd secret jusqu’à la leur.
Mais les peines sont vite oubliées. Claude est requinqué, ils se jettent dans le single des Chasseurs, exceptionnel de flow et se retrouvent vite à nouveau sur les terres noires. Laurent guide. Pour éviter la grande boucle et espérer tenir la promesse faite à Claude de ne pas dépasser 1400m, ils empruntent un sentier barré d’une croix.
Ce sentier assez engagé les emmène au fond d’un canyon, où les fossiles reposent. De peur de les rejoindre, ils s’empressent de s’extraire de cette mini Vallée de la Mort où la chaleur est écrasante.
La remontée est dure, mais au moins ils ont fait une belle coupe, réduisant ainsi le parcours. Arrivés en haut, les mémoires se mélangent. Bruno part à gauche, puis non c’était à droite, puis revient à gauche, et enfin repart à droite. Claude en tombe du vélo.
Les corps et les réserves en eau s’épuisent. Aurélien s’esclaffe: il est à sec, il n’a plus qu’un bidon et demi. Fred lui est à sec. Il est temps de rentrer. Plus personne n’ose communiquer le D+ à Claude qui a allègrement franchi le seuil psychologique. Il faut avancer pour retrouver espoir.
Celui-ci arrive avec la pancarte du circuit 16. Encore un effort de grimpette et les voilà à l’entrée d’un single. Bruno menace: c’est descendre maintenant, ou continuer à monter jusqu’à la route. Tout le monde se ravise et les voilà partis dans la dernière descente très empierrées qui les mènera à Marcoux.
La fin c’est comme d’habitude. Un petit groupe de 4 VTTistes (Laurent, Bruno, Aurélien, Fred) se positionne à 1 km de l’arrivée. Puis c’est une course effreinée jusqu’au pied de l’escalier qui mène à la maison. Les 4 autres eux arrivent tranquillement.
55km, 1740m D+: ils ont écouté Bruno et fait moins que la veille 😮.
On prend les mêmes et on recommence: bières, biscuits salés, saucissons avant d’attaquer la cuisine. Laurent et Gaël partent faire les courses. Salade de tomate féta, coleslaw, gratin de pates, accompagnent brochettes de bœuf et agneau, les côtes de porc (dans l’échine SVP), histoire que les vins blancs ne se sentent pas seuls.
Fred et Claude assurent au BBQ.
Les rois de la grillade
Bruno lui transforme un rien en plats gastro, avec le raisin du jardin.
Jour 4
Claude a dit, 3 jours de sandwiches, ça commence à bien faire. Alors ils remballent tout et prennent la route, s’arrêtant à Grenoble pour une pause bien méritée dans un restau. Aurélien puis Fred prennent le volant les emmenant à bon port.
Le making off
Ce qu’on ne pouvait pas vous montrer et qu’on ne vous montrera pas.
Les crètes, ce qu’il s’est vraiment passé.
Suivez la trace
Selfie à défaut d’autre chose
Maman…
– Je suis en haut. – T’as pas oublié ton vélo?
D’où l’intérêt d’avoir un vélo léger
J’me suis fait dessus
Je l’ai fait en manual
Le premier qui a osé
Lui n’a pas osé
C’est où la sortie?
L’art de la sieste
Différentes techniques pour obscurcir la réalité
L’art du camouflage:
Pas besoin d’antivol, il suffit de se fondre dans le décor
Programmé de longue date, c’est aujourd’hui que se tient le tour des forts de Besançon, organisé par Franck avec l’aide de son ami local de l’étape Cyril.
7 randonneurs se sont précipités pour ne pas en râter un morceau: Bruno, Xavier, Franck, Aurélien, Eric, Stéphane et Gaël. Eric claironne et montre à tous son achat de la journée: un éclair au chocolat, qu’il conserve jalousement.
Départ de Beaucourt en camion du club pour un RDV à 09h00 sur place. Sur la route les bancs de brouillard inquiètent.
La troupe en route pour une nouvelle aventure
Sur place la température est fraîche mais avec déjà un beau soleil, une belle journée s’annonce.
Après la visite expresse du très intéressant quartier de Planoise encore somnolant, ils entament par un petit sentier de derrière les fagots, qu’on pourrait même nommer de derrière le Grand Frais.
Le petit groupe progresse à flanc de colline pour rejoindre le Rocher Valmy, mémorial des hommes tombés pour la France. D’ailleurs, sur le chemin ils traversent un campement militaire qu’ils prennent soin de ne pas réveiller.
Le Rocher VALMY
Puis ils rejoignent l’aire de décollage des parapentes pour un 2ème point de vue sur la cité Franc-Comtoise.
Leurs pérégrinations les mènent ensuite à la Chapelle des Buis, où ils rencontrent un véritable embouteillage: c’est la sortie de l’office, on se presse pour l’apéro! La chapelle étant vide, ils en profitent pour en faire la visite.
Entre 2 singles extra, ils traversent des quartiers chics où règne le calme et la volupté.
Les voilà au Belvédère de Montfaucon, un autre splendide point de vue.
Mais ils ne se laissent pas déconcentrer, car leur objectif, c’est l’assaut du Fort Brégille. Le fort, ils n’en ont pas grand chose à faire, ce qui les intéressent, c’est la pause apéro-repas!
Pour cela, ils leur faut traverser le Doubs. La descente se fait via une magnifique piste enduro sinueuse, avec sauts, troncs, marches… tellement extra que Bruno décide de se lancer à l’assaut d’une marche formée par un arbre… mais sans vitesse. En résulte un roulé-boulé involontaire mais qui fait bien rire les autres.
Le fort Bregille est enfin là et avec lui son ordinaire, apportée par 2 jolies civiles. Encore une fois le point de vue sur la Citadelle est exceptionnel. Eric continue de fanfaronner avec son éclair mais il doit changer de stratégie et commencer par l’engloutir tellement il attire la convoitise. Son surnom est trouvé: Buzz!
Après avoir bien arrosé la grimpette et englouti saucisson, pâté en croûte, chips et autres salades et sandwiches, il est temps de reprendre la route pour le final. Cette fois ils se muent en street VTTistes et se lancent à corps perdu dans les marches du funiculaire de Beauregard.
Cette dernière descente atypique qui vaut à Aurélien de venir s’écraser une partie sensible sur le cadre termine sur une dernière curiosité de Besançon: le canal souterrain de 391m datant de 1882.
Voilà une belle journée qui se termine, après 45km et 1151m de D+.
Ce dimanche la météo était clémente et la MTB pour les adhérents a pu se tenir.
17 VTTistes étaient réunis en 2 groupes distincts pour le départ: – 8h30 pour le 43km – 9h pour le 30 km
Quelques gouttes très éparses ont bien cherché à intimider les randonneurs, mais devant leur détermination, les nuages ont passé leur chemin.
Le premier groupe, constitué de Bruno, François, Aurélien, Stéphane, Martial, Franck, Laurent, Noah, Philippe, Claude, Eric, Perrine et Gaël, se lance dans la descente vers Badevel. Mais déjà des écarts se creusent et ça ne manque pas, au premier carrefour, Laurent tire tout droit! Mais heureusement tout le monde se retrouve à Badevel.
Le groupe de 8h30
Cherchez les 7 erreurs
Gaël et Perrine quittent le groupe et remontent au point de départ pour rejoindre le 2ème groupe: Xavier, Candice, Jocelyne, David et Régis L.
Circuits magnifiques et soleil font de ces 2 rando un super moment de convivialité. Le timing est bien exécuté puisque les 2 groupes arrivent ensemble vers 12h. Royal.
A l’arrivée les randonneurs ont tout prévu: boissons fraîches, parts de quiche et de pizza, chips et bretzels sous un beau soleil. Effet du soleil ou de la fatigue? On a vu Claude se jeter sur une bouteille … d’eau gazeuse!
De quoi donner envie de se retrouver les prochains WE: le samedi à 09h30 pour la rando loisir, le dimanche 8h30 pour la rando sportive.
C’est sous une météo grisâtre et humide que se tient la journée convivialité été. Après les fortes chaleurs, c’est du froid: 16°C!
Au programme: – une rando VTT depuis Beaucourt, puis depuis Chevenez organisée par Aurélien – une marche depuis la cabane vers les traces du dinosaure Tripo-Tanus organisée par Xavier
Pendant ce temps à la cabane Régis et Gaël préparent les braises sous un feu d’enfer.
Magie de la coïncidence ou timing parfait, les 2 groupes arrivent quasiment en même temps pour l’apéro.
Tout est prêt, la bière est fraîche et les braises sont chaudes. C’est mieux que l’inverse.
Après s’être raconté leur été, les brochettes, merguez et saucisses blanches sont grillées à la perfection pour accompagner les salades, bien arrosées de vin rouge dans la cabane, réchauffée par un bon feu.
Le repas se poursuit par d’excellents fromages et des desserts maison. Un régal!
Il n’y a pas grand monde à la base nautique de La Praille à Mélisey quand les Beaucourtois arrivent. Tant mieux ils seront garés tout près.
Eric et sa famille patientent quand arrivent: la team Léon (Micka et Christophe), la famille Bera (Perrine, Laurent et Félix), la camionnette du club (Sylvie et Bruno, Véronique et Xavier, Claude, Gaël, et … Oé le toutou de la famille Martin).
Ce sont donc 9 VTTistes et 4 marcheurs plus un canidé qui vont arpenter le secteur des 1000 étangs sous un ciel bleu légèrement ennuagé. Temps parfait.
Côté marcheurs, il y aura de l’orientation. La parcours promis balisé l’est aléatoirement et il faut recourir au GPS pour essayer de s’en sortir à certains embranchements. Mais au final la petite troupe trouve son chemin et progresse comme prévu au milieu des étangs, arrivant bien avant les VTTistes.
Ceux-là s’embarquent pour une sortie de 45km / 900m concoctée par Xavier, qui est venu en repérage quelques jours plus tôt.
Le début du parcours n’est pas bien compliqué, ce qui endort la vigilance de certains sur quelques passages raides: certains posent le pied, Eric pose les fesses.
Il s’est mis en tête de vérifier s’il y a bien 1000 étangs mais finalement se perdra dans ses comptes pour en sortir tantôt 36, tantôt 38.
Le profil est plutôt montant et chaque côte est l’occasion pour Bruno de faire une remontada et de sprinter avec Laurent et Félix. Les autres gèrent car ce n’est que le début.
Claude est fier de son dérailleur tout neuf, son vélo a repris de la valeur. Et, fait rare, il ne sera victime d’aucune avarie.
Les kilomètres passent et la confiance s’installe. Micka relâche son attention dans une descente et la sanction est immédiate: il pince le pneu arrière. Une vaine tentative de rebouchage du trou fait apparaître une 2ème fuite sur la tringle: chambre à air obligatoire! Pour éviter une nouvelle déconvenue, Gaël le gonfle à 4 bars!
Le paysage est plein de surprises. Après une petite montée assez raide, ils découvrent un étang inattendu à cet endroit. C’en est tellement renversant que Bruno en tombe sur le côté à l’arrêt.
Les voilà bientôt au point le plus haut, et presque au nord de la boucle. Cette fois, ils sont bien sur le plateau. Ils entament une première descente mais faux espoir ils en remontent autant aussitôt. Puis enfin la dernière partie, bien que vallonnée, est descendante. De plus le terrain devient plus sinueux, les singles font leur apparition et quelques passages empierrés requièrent de l’attention. La moindre inattention, comme cette ronce qui dépasse, et c’est la chute immédiate, comme Christophe en fait la démonstration, sans gravité, devant tout le monde.
La fin approche, Perrine s’est accrochée tout du long démontrant un bon coup de pédale, et rappelant à Laurent que c’est les soldes en ce moment, et qu’un nouveau VTT ne ferait pas de mal.
Ils sortent enfin du bois et rejoignent la route, d’abord en groupe, puis Eric prend de la distance, rattrapé par Gaël. Mais les 2 ne se sont pas rendus compte que derrière le peloton s’est lancé à leur poursuite et les fusées allument leur mèche. Ça part dans tous les sens mais aux Champs-Mélisey, c’est Laurent qui s’impose!
La suite, c’est apéro et pique-nique où chacun relate ses exploits de la journée.
Encore une belle brochette de VTTistes sont présents à la traditionnelle rando du BOS ce dimanche 2/7, malgré une légère pluie qui s’estompera vite.
Et aux 11 ayant répondu présents au RDV de 8h30 pour les grands parcours (Pat’, Micka, Alain, Stéphane, Eric, Claude, Bruno, Christophe, Philippe M., Aurélien, Gaël), s’ajoutent 4 VTTistes partis sur les petits parcours (Martial avec sa fille, Xavier avec Louis), plus des marcheurs.
Valeureux, mais pas téméraires
Heureusement que nos VTTistes ont été prudents et ont téléchargé la trace car le balisage est … aléatoire, voire joueur! D’autres participants moins connaisseurs se seront laissés piégés et auront jardiné, alors que certains étaient même à contresens!
A l’approche du premier ravito, Bruno fait une démonstration de passage d’une montée empierrée, mais dérape de l’arrière, glisse finit au tas, non sans incriminer Gaël et Christophe qui n’avaient rien à faire devant lui! Mais les plus forts ce sont Pat’ et Claude, qui bien qu’étant derrière avant la montée, sont premiers au ravito! Dès qu’il s’agit de manger…
Est-ce la pluie, le balisage ou les 2, mais Pat’, Claude et Alain optent pour le 42, avec des excuses diverses (piscine, messe, anniversaire, …). Les autres poursuivent sur le 54.
Nos valeureux héros s’en sortent bien, sauf Bruno qui dans une tentative de montée impossible dérape encore de l’arrière et s’écrase lourdement au sol… sous les regards et les rires de ses compagnons. Ça l’énerve, le Bruno.
Après une sage rando où le soleil fait son apparition, les vieux démons finissent par réapparaître. Bruno et Aurélien se tirent la bourre avant le ravito de Glay, et toute la puissance du jeune Dampierrois ne suffira pas à venir à bout du rusé Bruno qui finit par prendre le large.
Pas de chance pour Philippe qui crève avant le ravito. Le groupe a explosé, et alors que Gaël, Micka et Christophe s’apprêtent à repartir, Eric le samaritain arrive avec Philippe. Ils ont à peine le temps d’avaler une bouchée que les 3 autres sont sur le vélo.
La montée des pierres gauloises est compliquée car encore humide, et longue. Certains commencent à souffrir, le groupe s’étend. Eric prend le large. Certainement des origines marines.
Ils se regroupent au dernier ravito et rentrent en groupe pour un apéro offert, bien mérité. Au moins la boisson leur permet de supporter sereinement le festival des grandes gueules et leurs exploits!