Les gros du mollets

Nous prêtons la plume à Thierry pour nous rapporter cette événement tant attendu.

 

On m’a réclamé un compte rendu de la NGM, alors je vais vous le livrer.
Tout d’abord, c’était l’édition à ne pas manquer, car c’était la 10ème et qu’il n’y en aura qu’une !

Comme les conditions sont exécrables une année sur 2, (pas comme au 1er mai !) et que l’année passée, malgré qu’il n’y ait pas eu de pluie pendant la course (si, si) c’était l’édition à ne pas manquer. Et elle fut exceptionnelle. Météo, température idéales, single fabuleux et compétiteurs affutés.

Donc je ne reviendrai pas sur le tirage au sort des équipages car l’organisateur n’étant pas présent, il ne peut par conséquent pas se défendre. A ce petit jeu, Dada et son ami Serge formait le premier duo, Lionel et Claude le second, Régis et Jeremy (du sang neuf) le 3ème, Maxime et Alex le 4ème et votre serviteur avec un Franck très en forme, le 5ème et dernier. La pression est énorme pour ces duos. Qui va ressortir vainqueur de cette compétition fratricide ? Hormis pour Maxime et Alex qui ne jouent pas dans la même catégorie que les anciens. Ils sont pourtant chambreurs ces petits jeunes, ils annoncent avoir fait le tour de reconnaissance, en 18 minutes et « fingers in the nose » avec ça. En vieux briscards à qui on ne l’a fait pas, nous émettons des doutes. La course le démontrera, car le meilleur tour en course sera de 17’50’’ ! Tous des grandes gueules dans ce club ! Il est fort probable, qu’à l’insu de leurs pleins grés, qu’ils aient un peu coupé quelques parts, comme d’autres ont pris l’habitude de le faire ! Mais quand l’exemple vient de tout en haut (jeu de mot), il est normal que les subalternes en fassent de même. A noter d’ailleurs l’absence remarquée du dit « très haut » (encore jeu de mot !), pour cause de ripaille. Peut-être était-il en méforme et qu’il ne voulait pas le montrer… D’autres, quant à eux, préféraient se promener en bus flambant neuf, dans la campagne ardéchoise. On attend aussi un compte rendu.

Bref, les présentations des valeureux chasseurs de chrono étant faites, c’est la mise en grille par ordre de plaque : Casque vert (N°38), Jérémy (N°39), Franck (N°40) Dada (N°41), et Maxime (N°107) se sont portés volontaires pour le départ. Maxime tente discrètement de prendre la place de Dada sur la ligne mais la vigilance des organisateurs ne peut être prise en défaut. La rigueur alsacienne ne tolère pas un N° 107 à côté du 40… Non mais jeune freluquet, il faut reculer. Dommage pour le scratch ! De toute façon l’enjeu est ailleurs, qui va niquer Bruno ? Mince, c’est vrai qu’il est absent, il va falloir se reconcentrer sur un autre objectif. Sus au casque vert ! Le départ approche et certains essaient de modifier subrepticement les vitesses de leurs adversaires directs pour les faire démarrer sur la plaque. Dada en oubliant de desserrer son frein à main, problème de piston.

L’heure H approche, la pression augmente, la bise souffle en rafale. Certains dans leur tête, mettent au point les tactiques de courses : S’abriter derrière leurs adversaires dans le faux plat montant avant la dernière descente et les taper furtivement au freinage dans le gauche à 90° avant les arbres fruitiers ! Pas de cadeaux, on n’est pas là pour rigoler.

19h : C’est enfin la délivrance. C’est une débauche d’énergie et de testostérone (pardon pour les concurrentes féminines) qui viennent d’être libérées. Maxime tente, en rusé renard, dans le nuage de poussière, de rattraper une soixantaine places en courant, mais Dada est déjà loin.

Fin de la première boucle et premier relai. Les premiers qui jouent la gagne, arrivent en moins de 18 minutes, la course va donc être rapide. Du club, assis sur son bec de selle dans la ligne droite précédent l’arrivée, arrive Maxime, puis Jérémy (le sang neuf) au grand désespoir de Régis. Ensuite,

vient Franck devant un Dada qui lui suce la roue comme une travailleuse du sexe à la reprise de son service, si j’ose cette expression un peu triviale. Impression de déjà-vu toutefois lors d’une édition précédente où Dada (le même) collait déjà (tel un morpion affamé cette fois) aux c… aux basques pardon, du président à vie. Casque vert n’est pas encore arrivé, qu’Alex, Régis et votre serviteur sont déjà dans leur premier relai. Les temps au tour pour les membres du club, (Je ne parle pas des jeunes…) sont loin des premiers mais sont rapides tout de même. A la fin du premier relai, Maxime et Alex sont devant, suivis par Franck et Thierry qui ont réussi à dépasser Jérémy et Régis dans le premier relai, puis Claude et casque vert et enfin Dada (qui a toujours des problèmes de frein à main) et Serge. Dans la zone de relai cela rigole de moins en moins, Régis est en train de se rendre compte qu’il va falloir aligner 5 tours, au lieu des 4 qu’il avait prévus. Ce qui le fait, un bref instant, regretter amèrement les ripailles de la veille. Soyons fort dirait le président absent ce jour je le rappelle, pour cause de méforme, pardon, pour cause de mariage. Il aurait dit aqua-poney que nous ne l’aurions pas davantage cru !

Passée la première bosse, les singles sont SVSS ! Sympas, Vraiment Single et Sinueux. Les dépassements possibles, mais faut jouer du coude et du braquet. L’adhérence au top permet des prises d’angle et des freinages tardifs, sauf pour Dada qui a toujours des problèmes de frein à main.

Les relais s’enchainent (de vélo) très rapidement, pas le temps de flâner sur la zone de relai, de discuter avec les concurrentes, que le relai suivant arrive. A noter qu’au ravitaillement, derrière la table, une charmante dame arbore fièrement les couleurs du club. Mais qui a bien pu donner sa thermique pour qu’elle en prenne pas froid ? Bruno serait-il arrivé ? Avec la fatigue, les temps au tour augmentent plus ou moins selon l’état de fraicheur et il faut se résoudre (déjà) à allumer les guirlandes pour certains, les éclairages pour d’autres. La question de Régis est toujours 4 ou 5 tours ?

Au final, l’équipage des vainqueurs accompliront 12 tours, Maxime et Alex se classeront 17ème au scratch avec 10 tours, Franck et Thierry 23ème avec 10 tours, Claude et casque vert 36ème (seulement !) avec 9 tours, Régis et Jérémy 38ème avec 9 tours, Dada et Serge 48ème avec 9 tours sur 105 équipages au total, Bruno n’étant pas classé pour cause de méforme, pardon de mariage ! Il faudra d’ailleurs penser à envoyer un mot d’excuses avec une raison valable la prochaine fois.

Voilà, la 10ème édition se termine autour de vrais et succulentes tartes flambées, sagement réservées par Dada, ainsi que de boisson de récupération amplement méritées, les jeunes étant déjà partis pour se coucher, tant pis pour eux ! Franck et Thierry, un peu narquois, savourent leur triomphe, pardon, leurs bières, face à leurs adversaires du jour, dépités par tant de talent… ah Modestie quand tu nous tiens !

Dada, c’est toi qui avait la seule véritable excuse pour ne pas avoir pu monter La Papet` du lendemain. C’est dur de monter avec des problèmes de frein à main…

Thierry

Les Ardéchois

Première sortie du véhicule avec un équipe de 4 furieux à l’Ardéchoise. Philippe nous en dit un mot:

 

Effectivement, un grand merci pour le véhicule. Il est vraiment très agréable à conduire et il va très bien, trop peut-être…..si vous recevez des photos souvenir du trajet, vous saurez à qui les faire suivre!

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Pour en revenir à la course, nous avons tous fait « La Volcanique », elle était annoncée pour 176 km et 3210m D+, mais sur nos compteur nous avions « seulement » 3100 m D+ environ,…mais on a pas posé de réclamation, il y en avait bien assez.

 

Une organisation au top, la fête dans tous les villages traversés, une super ambiance, des bénévoles extraordinaires, des paysages magnifiques, une grande majorité des routes fermées à la circulation, en bref, une vraie réussite, à faire absolument pour ceux qui font de la route.

 

Nous avons reçu notre classement individuel:

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Je ne sais pas à quoi correspond la catégorie « G », mais à mon avis, cela correspond à « Gaillard » ????

 

Définition:

« Homme robuste, vigoureux, guilleret, fringant, vif, alerte, dispos, valide, vaillant, puissant ».

Vous en pensez quoi? 🙂

Prochaine sortie route, l’étape du tour, environ 180 km, 3600 m D+ avec le col de Vars et l’Izoard!!!!

Après sa prestation en Ardèche, Robert ne peut plus reculer…..

 

Philippe

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Heureusement qu’il y a le noyau (de) dur(s)

La pluie de la nuit n’a pas fait peur à Bruno, Franck, Jeff, Pat, Daniel, Eric et Xavier. 
Comme souvent au foyer George Brassens, avant le départ une réparation. Cette fois, c’est Pat qui change sa chambre à air. On part direction la ferme Houdin par la route et ensuite, on monte le single (qu’on fait plutôt en descendant d’habitude), où la série de marche bien humide fait mettre pied à terre à certains.
A Saint Dizier, on a l’impression d’être déjà en automne avec brouillard et fraicheur. La suite du parcours se passe en Suisse où de nombreux panneaux et rubans signalent une rando…., on cherche au maximum à éviter mais chaque fois on retrouve le balisage. On arrive à Buix pour monter à la tour d’observation du Mont Renaud.
La descente se fait avec Jeff en tête qu’on ne reverra plus, au lieu de prendre un sentier à droite, il file tout droit… Au château d’eau de Delle, on attend que Bruno retrouve Pat qui n’a pas vu le bon chemin. 
Le retour se fait par Thiancourt et le bois de la truche.
Une sortie sur un terrain humide et glissant.
 
 
44 Km et 923 de D+
 
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1er mai J-1

La veille du 1er mai des courageux décident de braver les conditions météo….  Un drand soleil, sur des terrains roulant. 
 
Bruno, Franck, Pat, Pascal, Simon, Jef et Xavier.
 
Le groupe part pour un secteur où nous roulons rarement, objectif les bois de Brevilliers et Châtenois. 
Dans le secteur d’Allenjoie, Lionel notre guide du jour, nous dit de prendre à gauche, ça ne sera pas le bon chemin. Bruno, Jef et Simon suivent une autre trace qui sera beaucoup plus praticable. A l’approche de Dambenois, Pat s’arrête, un bruit suspect au niveau de la transmission. Son dérailleur avant, complètement tordu empêche le passage des vitesses. Pat décide d’arrêter la sortie et rentrer en mono-plateau sur Beaucourt. 
 
Le reste du groupe continue, le secteur Châtenois Brevilliers Dorans est une succession de chemins blancs et de singles sans grande difficulté mais super agréables. D’ailleurs Bruno est contemplatif de cette nature verdoyante et fait partager à Simon son humeur printanière « il lui parle de sève qui monte et d’oiseau qui chante »…
 
Pour la suite, on arrive sur Dorans et après sur la piste cyclable jusqu’à Andelnans. Un peu de bois jusqu’à la gare TGV et après une longue section de piste cyclable pour aller à Morvillars où Lionel nous quitte. 
 
Retour par Méziré et Dampierre.
 
Au final une sortie de 57 Km pour 770 D+.
 
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Chut!!!

12 partants ce matin au foyer, Bruno, Gaël, Eric, Pascal, Jeff, David, Claude, Lionel, François, Robert, Franck, Xavier et Thierry.
Comme souvent au foyer, certains vérifient la pression de leur pneu et Lionel veut baisser un peu la pression mais en dévissant le capuchon de la valve, l’obus a suivi…. Résultat séance pompe.
 
On part pour aller au belvédère de Mandeure. Franck nous croise sur la route et donc rejoint le groupe. 
Un peu de piste cyclable jusqu’à Dasle puis le cimetière et on prend le bois qui longe la piste. Un petit arrêt pour reconstituer le groupe vu que Bruno a forcé l’allure dans les petits singles. A peine assis sur la selle que voilà la première chute pour Xavier… 
On traverse Audincourt par la piste et puis le groupe attaque Belchamp pour rejoindre Mandeure. Jeff suivi de Pascal montent les premiers au belvédère. Un groupe de pompiers est en exercice sur la plateforme.  Une petite pause et Robert profite des conseils de Lionel pour régler son frein avant, vu qu’il fait un bruit étrange et le ralenti. Résultat rien ne change…
A Ecurcey le temps se fait plus frais sur le plateau pour tout le monde, normal nous sommes restés caché derrière une pile de bois pendant 5 minutes espérant voir revenir Bruno parti seul…
Juste après Roche on attaque une descente pour aller sur Thulay. Suivant Franck de près, Xavier ne peut pas anticiper une ornière et là… il fait un vol plané pour atterrir dans un noisetier avec un bruit qui fait craindre le pire. Heureusement le noisetier n’a rien et Xavier s’en tire indemne à part une douleur au dos. 
On repart tous, vers Thulay dans un pré le groupe prend de la vitesse et en arrivant dans un champs labouré Lionel passe devant Gaël, qui perd le contrôle de son Giant et tombe au sol très très lourdement. Gaël est conscient mais sous le choc et avec une épaule douloureuse. On appelle une voiture pour venir le chercher à THULAY… 
Le groupe laisse Gaël et Jeff pour repartir direction les 5 sapins puis Hérimoncourt. La fatigue de certains fait exploser le groupe pour le retour.
44 km pour 746 D+
 
Bon rétablissement à Gaël qui sera absent quelques mois.

C’est officiellement le printemps

Ca y est, c’est officiellement le printemps. Les bourgeons bourgeonnent, les moucherons moucheronnent, les fleurs fleurissent et les vététistes de PASSION VTT vététisent.
 
Au départ ce matin: Bruno, dorénavant accompagné de 2 acolytes Franck et Alex, Franck gardant la préférence du fait sa moindre distance séparant son domicile de la maison du chef, mais attention, Alex fait tout pour gagner des points; Patrick la roulette, Daniel qui prouve que les rêves peuvent se concrétiser lorsqu’on y croit (comme avoir sa propre pelle; chacun son truc), David le pêcheur (un copain de Martin), François Blue Bullet, Pascal l’Ardéchois, Robert qui reprend, Xavier holà, Gaël à qui le club a l’inconscience de confier les compte-rendus.
 
Hop hop hop on part, direction Montbouton pour une petite pause photo. Après 2 prises, le photographe demande la hola, et le groupe s’exécute mollement: Xavier confond hola et haut les mains, Franck revit la candidature de Chirac en 1995, Robert choisit de n’exécuter que le ho (ou le la).
 
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Au-dessus du pont Sarrazin, surprise: un jeune cabri est de passage. Séance photo et go vers la ferme des minimes, puis vers le chateau surplombant Seloncourt, Hérimoncourt. Surprise en arrivant, il s’agit d’un chateau d’eau. Un peu plus loin François fait une expérience physique qui consiste à bloquer un objet se déplaçant à vive allure (ici un vélo, accroché par sa pédale) pour vérifier si les corps non solidaires (ici le pilote) continuent à se déplacer. On peut confirmer que le corps continue à se déplacer, mais ni très loin, ni très confortablement. Certains diront qu’il aurait pu poser la question, mais on n’apprend jamais mieux que par soi-même.
 
Il atteignent la route rejoignant Bondeval à Roches les Blamont, ou Lure à Luxeuil selon certains qui confirment ici un sens innée de l’orientation. A ce moment Pat’ nous fausse compagnie direction Luxeuil. Ou Lure.
 
Nous reprenons le magnifique single qui surplombe Beaulieu puis Valentigney. Tout le monde a compris depuis longtemps qu’il vaut mieux laisser Bruno devant, ça lui donne l’impression de mener. Après un bout de piste cyclable permettant de traverser Audincourt, ils sont rappelés à l’ordre par Gaël qui veille à leur faire emprunter principalement des singles. Ils serpentent jusqu’au dessus de Dasles, se séparent enfin de Pascal, et croient rentrer paisiblement par la piste… C’est sans compter sur la vigilance de Gaël encore une fois qui les renvoi sur le dernier single vers Beaucourt.
 
34 km 711 m d+
 
Assez sec, quelques flaques. Grand soleil, mais frais.
 
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Vers les rives du doubs

En ce jour de compétition à Dole pour les jeunes, il manque un peu de monde au départ: Pascal, Eric, Daniel, David, Patrick, Claude R, Gaël.
 
Parcours atypique: petit détour par le Château Fernand pour vérifier l’avancement des travaux, puis direction les bosses de Dasles pour un petit échauffement. En sortant du Vita direction Dasles on croise dans la sapinière des marcheurs sur une rando organisée. Petits soucis pour Pat’ qui a des remontées de chaîne. C’est toujours mieux que des remontées de choucroute.
 
A Dasles on remonte au cimetière de Vandoncourt. C’est l’occasion pour certains de rappeler d’être vigilant avant d’attaquer le chemin, car les chats ont tendance à se jeter sous les roues de vélo… On continue dans notre tour à l’envers en redescendant sur Seloncourt, puis en tirant sur Hérimoncourt. Après avoir passé l’éboulement, le groupe remonte à droite en espérant passer l’épingle. Gaël passe presque mais cale en plein milieu du dernier virage: ça sera pour la prochaine fois. Après une pause goûter, direction les cinq sapins. Pascal est impressionnant de maîtrise dans les racines et passe tous les obstacles avec l’aisance du cabri. Au passage de la marche, on a une pensée émue pour Bruno et ses nombreuses tentatives alors que Thierry passait en une fois…
 
Aux cinq sapins, pas de pause, Gaël emmène le groupe dans la descente technique, espérant enlever les dernière inhibitions. Seul Pascal suit, les autres obliquent à droite pour un passage… encore plus dur! Quel courage!
 
Feinte de Gaël après le regroupement, il prend la direction de Thullay mais surprend tout le monde en obliquant vers Bondeval, et finit en danseuse en entrainant tout le monde à la fontaine. Le groupe repart et prend la descente au-dessus des rives du doubs. Après quelques hésitations, ils retrouvent la route vers Seloncourt, puis remontent via le goudron vers Dasles, après que Pat’ les ait quitté.
 
Pascal met les watts dans la montée, prenant un peu de distance, mais Gaël s’accroche et remonte. Ils coupent à travers champs puis redescendent sur la route Audincourt-Dasles après avoir parlé bagnoles et électricité.
 
32km, 566m d+
Terrain sec à gras
 
circuit
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Quand Bruno paye l’apéro

Moins de monde que la semaine dernière, Eric, Daniel, Philippe, Franck, Pat ,Claude et Xavier. 
On est encore au foyer que Claude fait déjà une intervention sur ses freins. Nous voilà partis direction Montbouton, les chemins sont encore bien gras sur les premiers km. On arrive au pont Sarrazin pour suivre le chemin forestier, bien sale par l’intervention des bûcherons. On décide d’aller sur Croix et la ferme du Paradis, quelques sentiers sont bien gras et certaines descentes se font en mode surf.
On fait la descente des pas du diable sur un terrain assez sec, Pat se fait surprendre par un arbre en travers mais rien de méchant. Puis vient la descente des Bisons, là aussi dans de très bonnes conditions, d’ailleurs le groupe attaque fort emmené par Franck. On ne fera pas la totalité de la descente: on coupe par les parc des Bisons. On longe la voie rapide pour aller jusqu’à la passerelle à animaux rénovée. 
Le groupe arrive à Fesche… Une idée vient à l’esprit d’un des membres, Lionel serait là, il irait rendre visite à Bruno (en bon journaliste, je ne divulgue pas la personne…). Problème le chef n’est pas là, mince !!! Pas grave, on décide quand même de s’installer en espérant trouver un ravito caché vers la piscine. 
A partir de là, je décline toute responsabilité sur d’éventuelles blagues…
Une fois le moment de convivialité fini, on repart. Franck rentre chez lui, on prend la piste cyclable jusqu’à Beaucourt pour le reste du groupe
 
37 km pour 613 D+
 
2017-03-12
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Avant l’heure c’est pas l’heure

Quel alignement des planètes a bien pu se produire cette nuit pour retrouver un tel groupe ce matin: Bruno a amené Alex qui du coup est à l’heure, Jef, Victor, Hélène en guest star du pôle France, Daniel, Eric, Pascal, David, Patrick, François P., Cédric, Louis P., Olivier, Claude R., Xavier, Gaël.
 
Départ. A peine sur l’esplanade, Jef s’arrête pour un bruit suspect et essuie les moqueries des autres. Route de St Dizier et première pause pour Claude qui a un rayon baladeur. Très vite on est dans le vif du sujet: c’est gras. La progression va être difficile si on reste à Beaucourt. Devant la ferme cette fois c’est François qui a des problèmes: après un petit réglage de transmission, ça repart.
 
Direction Croix. Alex fait se vautre dans la boue. Certains passages très pentus sont difficiles: ça patine. Passé Croix, direction la Suisse. Premier départ: notre sénateur, son fils et son attaché sénatorial fond demi-tour.
 
Le groupe continue vers Fahy puis oblique vers la Chefferie du haut. Après la chefferie, sur le sentier des bornes, nous avons droit à une magnifique démonstration de Victor qui passe à 2 roues la marche, non, le mur que même à pied nous avons du mal à monter: élan, accélération, puis arrêt en équilibre sur l’arrête, quelques po-go, et ça repart. Respect, non terni par les blagues des retardataires s’esclaffant « je suis passé ». Dans la petite descente de jolies fleurs bleues pointent le nez.
 
Jef, Victor et Hélène quittent le groupe au bout du single. On va enfin pouvoir souffler… 😉 Après une petite pause alimentation, petite pause photo.
 
Retour courageux de François qui souffre mais qui progresse sortie après sortie: le fond s’acquiert maintenant. Alex aussi est cuit: il avait oublié combien c’était dur un vélo sans moteur! Arrivé au Grammont il trouve quand même la force de faire découvrir la piste de descente qu’emprunteront les compétiteurs le 21 mai prochain lors de la manche du Trophée du Jeune VTTiste organisé à Beaucourt. Réservez la date dans votre agenda.
 
Sous un beau soleil, malgré un vent parfois bien présent, 35km, 563 m d+.
 
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