25/09: ils sont chauds

C’est sous un ciel gris mais finalement sans pluie que le petit groupe s’est réuni: Eric, déjà bien chaud (chut), Aurélien, bien chaud lui aussi (re-chut), Fred forcément chaud vu qu’il vient de Saint Diz’, Dorian chaud les ballons depuis Jonchery, Bruno chaud patate bien qu’il soit venu avec Franck en camion, Marc, pas chaud et enfin Gaël à peine chaud.

Mais la star du jour c’est Franck, ou plutôt son nouveau jouet. Un beau Spark tout vert ONF à peine sorti du carton. Tout le monde se moque de la couleur, mais en vrai s’extasie intérieurement et l’imagine comme sa future monture.

Fini de rêver: c’est le départ. Sur la route de Saint Dizier, première constatation: il va falloir attendre Marc. Pas de problème, le groupe se relaye à ses côtés.

Du coup c’est pas plus mal, ça permet de démarrer tranquillement: direction Croix puis Abbevillers. Quelques panneaux oubliés de la MTB sont retrouvés par Franck, et c’est l’occasion de faire connaissance avec David de Seloncourt. Le groupe a un nouveau membre.

A Abbevillers le petit single un peu raid est encombré de ronces et, au lieu de promettre une baffe à celui qui pose pied, la sanction aujourd’hui c’est l’apéro!

Ils ne résistent pas à la descente du Vannet via les pierres Gauloises: Bruno et Aurélien se tirent la bourre, suivis un peu (beaucoup) plus loin d’un trio composé dans cet ordre de Gaël-Eric-Franck, puis viennent Dorian qui se fait chambrer sur son allure et enfin David, Fred et Marc. Les premiers l’avouent: ça glissait, c’était… chaud!

Ils traversent Meslières, enjambent le Gland, et montent vers Roches les Blamont en évitant les chasseurs qui défendent Thulay, inaccessible. Là ils croisent un groupe de Beaucourtois constitué de David J., Olivier et Thomas. Heureuses retrouvailles, même s’ils auraient préféré qu’ils les rejoignent.

Direction les spéciales enduro-light de Mandeure. C’est toujours un plaisir, et la sortie de la première est toujours aussi impressionnante: il y a des hésitations dans le peloton, ça pose le pied devant la marche… Puis ils rejoignent Fremeuge, pour un concours d’équilibre et d’adhérence, où il n’y avait pas beaucoup de candidats potentiels pour le podium. Par contre sur le podium de la mauvaise foi ça se bousculait: « trop gonflé », ‘trop humide », « trop de terre »,…

Bondeval nous voilà! Marc commence à faiblir. Il est aussitôt mis sous perfusion pour lui permettre de tenir jusqu’au raidillon après le ruisseau.

Pause! C’est le moment de zoomer sur ce passage bien particulier. Pas long mais bien raide. Tout le monde, sauf Marc encore innocent, se voit en vainqueur de ce passage. Beaucoup d’appelés mais peu d’élus.

Premier à s’élancer, Gaël monte le plus haut. Dorian échoue à peine derrière. Fred fait taire les  commentaires, mais non. Après c’est la débandade. Mais loin de se décourager, voilà Bruno qui se lance dans un nettoyage en règle du passage pour s’assurer la victoire. Malheureusement il ira moins loin que la première tentative, et surtout déclenchera les rires de ses camarades. Celui qui les arrête (les rires), c’est Eric. Il a le bon rythme, la bonne position, bien aidé par son plateau de 30 (on le soupçonne d’avoir retiré 2-3 dents), le voilà qu’il dépasse le point le plus haut atteint ce jour, s’apprête à tourner à gauche pour éviter la dernière partie encore plus raide et, et, et cale. Mais tout le monde se prosterne devant le nouveau champion même si la victoire est encore à une marche et quelques mètres.

Les horaires sont les horaires, plus la fatigue de Marc, ils redescendent sur Seloncourt et remontent vers Dasles. Dans la montée Dorian impose un rythme à la limite du trop vite, et contient un Aurélien qui se voyait déjà en champion de la bosse: ce sera pour une autre fois!
Retour par la piste cyclable en ordre dispersé.

Environ 39km 830m d+

Pas de panne.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1r35-Ew6ZwyoSF9R8PcO28AtwpzEM0KNf/view?usp=sharing

18/09: le marathon des ballons

Petit déplacement à Lepuix pour le Marathon des Ballons. Une épreuve organisée tous les 2 ans mais qui a été annulée pour cause de COVID ces dernières années.

RDV fixé à 8h45 sur place par Gaël. Mais il tarde à arriver. Francis s’impatiente, Aurélien, Christophe, François et Mickaël font le pied de grue. Toujours pas de président.

Tant pis Francis part, François aussi mais avec le couple officiel de l’officieux VCD, et après un dernier appel enjoignant Gaël à se hâter, Aurélien décide de partir avec Leon et Leon. Mais pas de chance, panne de la commande de dérailleur électronique AXS de Michael. La pile est morte. Le temps de démonter la pile de la commande de tige de selle pour la substituer, voilà Gaël qui arrive. Ah l’électronique!

C’est à 4 qu’ils prennent un départ… frisquet sous seulement 6°. Dès les premiers virages, le balisage annonce qu’il ne sera pas à la hauteur. Rubalises mal placées, trop fines, panneaux trop petits, pas de fléchage, … les handicaps se cumulent et arrive le prévisible après seulement 4 km: l’erreur. Ou plutôt le balisage tellement mal fait que voilà nos 4 compères partis dans une longue montée de 1.5 km… pour rien. Ils rebroussent, retrouvent la trace et évoluent sur terrain tellement plat qu’ils sont convaincus (et dégoûtés) d’être sur le parcours familial, eux qui se voyaient en experts.

Le premier ravito arrive et surprise, ils apprennent qu’ils sont sur le bon parcours. Ouf! Donc si les 15 premiers km ont été si plats, la suite s’annonce grimpante.

Ils ne le savent pas mais pour François c’est pas mieux. Avec ses 2 acolytes du jour, ils s’emmêlent les crampons, mélangent l’expert et l’intermédiaire, et finissent pas ensemble, sur le familial et à contre sens!

Seul Francis semble épargné… ou en tout cas plus vigilant.

Les km rasants défilent pour nos 4 compères et les organisateurs manquent toutes les occasions d’en faire une rando plaisir. Chemins blancs, montées goudronnées sans fin, d’autres empierrées et trop raides. Toutes les cases de ce qu’il ne faut pas faire sont cochées.

Au 2nd ravito à la planche des Belles Filles, les discussions des participants vont bon train: « c’était mieux à Beaucourt, rien à voir, balisage super, ravito excellents, organisation impeccable ». Notre président n’en rate pas une miette, d’autant que les tenanciers du ravito lui listent tout ce qu’ils n’ont plus: soupe? A plus. Saucisses? A plus non plus. Ouf, il reste du thé chaud.

Sur ce versant les conditions météo ne sont pas les mêmes, les t° baissent encore et Aurélien appuie dans la montée suivante, alors que Christophe accompagne Micka qui a un coup de mou. Gaël navigue entre les 2.

Les voilà au Démineur, au Ballon d’Alsace. 3ème et dernier ravito où ils retrouvent Francis et Pomme, sa charmante moitié. Les 4 camarades se regroupent, apprécient la soupe (il en reste!) et se disent qu’avec 1560m de d+, ça ne doit plus trop monter.

Dans le dernier raidard, Aurélien pose le pied, se disant que Gaël, qui s’économise depuis le début, en fera autant. Las! Le président connaît bien ces fins de rando où il n’est plus question de gérer et le passe sous un torrent de sobriquets plus couards les uns que les autres.

La fin offre le plus beau, un beau sentier à flanc de forêt, des descentes rapides ou pentues entre pierres et racines. Aurélien est aux anges. A l’arrivée, le soleil les accueille ainsi qu’un rafraîchissement et des en-cas offerts.

La fin était belle mais est endeuillée par un incident majeur. Puisqu’on apprendra qu’un participant de 74 ans aura succombé à un arrêt cardiaque malgré les premiers soins pratiqués par Francis avant l’arrivée des pompiers.

59km, 1700m D+/-.
Temps: nuage, soleil, 5 à 17°
Parcours sur l’image ci-dessous dans le sens horaire.

10/07: le chemin de la discorde

On pourrait dire que ça sent les vacances s’il n’y avait pas de bonnes raisons: blessure, compétition, coucher tard… Mais heureusement, il y a les piliers du dimanche matin: Dorian, Pat’, Aurélien, Mickaël, Xavier, Marc, Gaël.

Personne n’a rien préparé mais tout le monde veut rouler. Direction Fremeuge!
Après une prière au cimetière, ils admirent le point de vue à Montbouton. Petite variante par l’étang Cayenne pour changer, où Mickaël frise la correctionnelle dans la descente. Attention, l’autre Léon a déjà la clavicule cassée…

La traversée de Seloncourt les amène à la pump track. Dans le bois Gaël entrevoit la possibilité d’un nouveau single mais malheureusement il est bouché, ce sera un 1/2 tour pour tout le monde.

Les voilà derrière Bondeval. Ils se regroupent et inévitablement, à cet endroit, comme un aimant attire une épingle, comme un velcro attire un scratch, comme un crotte attire une mouche, le Chemin des Près des Côtés attire les pédales: c’est forcement gaz jusqu’à Fremeuge.

Pour la suite nous avons masqué les prénoms pour conserve l’anonymat des protagonistes.
C’est là que l’idée à commencer à germer dans l’esprit de l’éclaireur du jour, que nous nommerons G., d’aller essayer une autre variante. Il demande à D. s’il y a un chemin. Ce dernier, naïf, lui répond que oui, sans comprendre son erreur. Les voilà entrainés dans un chemin sans fin bien… travaillé par les engins, pour finir sur une belle descente… encombrée de branchages.

D. râle tout ce qu’il peut, alors G. utilise la technique bien connue de B. dite de la sourde oreille: avancer sans se retourner. Et pour avancer il avance, mais pas longtemps car c’est un mur qui les attend. G. rassure tout son petit monde, puisqu’encore un petit effort au-dessus il y a un sentier à droite.

Au-dessus il n’y a rien et c’est finalement bien au-dessus qu’ils trouvent une échappatoire… à gauche. Oui bon gauche droite, c’est relatif tout ça, l’essentiel c’est de remonter sur son vélo.

Finalement ils retrouvent un chemin connu et débouchent sur la route de Bondeval, qui était la destination. Pas de quoi s’inquiéter car tous les chemins mènent à … Thulay! En route Aurélien fait mumuse avec des sauts et devient l’idole du groupe envieux de tant de dextérité. Bon il a sa méthode: aller voir, s’arrêter, retourner, revenir voir, re s’arrêter, re retourner et enfin sauter!

La suite c’est d’aller arsouiller dans le single qui descend à Hérimoncourt, et Aurélien s’adjuge les lauriers komesques que détenait Gaël depuis 13 mois.

Marc commence à fatiguer, les montées se font longues, il est temps de rentrer mais un coup d’oeil sur le compteur indique un dénivelé pas en ligne avec les objectifs de la journée. Encore une grimpette au pont Sarrazin, avant de retourner sur Montbouton. Pat’ est pressé, il décide de mettre la gomme et en remontre à Aurélien et Dorian.

Marc jette l’éponge aux Champs Houdins, tandis que les autres jettent leurs dernières forces dans le magnifique single du Grammont pour un dernier baroud d’honneur…

36km, 870m d+
Trace: https://drive.google.com/file/d/1RFbpXNdMasZL14rLPneiefonyrU1UbSM/view?usp=sharing

12/06: 997, 998, 999, 1000!

Sortie aux 1000 étangs organisée par Xavier, VTT et marche. Dépaysement total, parcours magnifique, on y retournera!

48km, 825m.
Trace: https://drive.google.com/file/d/1PRKIzcxpdSgL6EAvsVfMkxtmgbRyXs9w/view?usp=sharing

Pique nique à la base nautique de Mélisey, temps superbe.

22/05: home, sweet home

Après Saint Dizier l’Evèque, juste avant la montée raide

De retour sur les terres Beaucourtoises après plusieurs sorties dominicales en extérieur, ce sont 8 vttistes qui sont venus profiter du temps agréable: Franck, Bruno, Aurélien, Jean-François C., Pat’, Stéphane, Claude R. et Gaël.

Gaël fidèle à lui-même arrive après tout le monde, mais comme Bruno cherche seulement ses affaires pour rouler… Stéphane et Aurélien, venus à vélo de Dampierre sont déjà dans les starting blocks. Jef se couvre car il aime bien avoir chaud, voilà c’est comme ça.

Petit échauffement par les Champs Houdins puis à l’approche de Croix ils remontent vers le Nord. Déjà sur le chemin du retour? C’était pour l’échauffement qu’on vous dit. D’ailleurs Jef est chaud puisqu’il se déshabille.

Les chemins sont superbes et pourtant Stéphane choisit le seul endroit où ne pas mettre sa roue: direct par dessus le guidon! Voilà le tout nouvel Orbea baptisé. Dans la montée vers Saint Dizier ça se tire la bourre entre Gaël et Bruno pour la place de dauphin d’Aurélien. Derrière, on gère car ce n’est que le début de la rando. Bruno croise un groupe de chasseurs qui l’invitent à boire de la gnole, mais c’est un peu tôt. Puis ils font la rencontre d’une promeneuse de chien, et tout le monde est prêt à tenir le chien!

Voilà les esprits sont échauffés, et le niveau des blagues descend franchement sous le niveau de la ceinture. Après la petite pause goûter pendant laquelle Claude prétexte que son chien est fatigué et qu’il doit rentrer, ils attaquent le petit raidillon qui fait encore des déçus puis retournent vers Croix afin de rejoindre Abbevillers en peloton. Rue du Vannet Stéphane cale dans la montée dite « celui qui pose le pied prend une baffe » et prend effectivement une baffe, tandis que Pat’ annonce un problème mécanique juste devant une Citroën Traction rutilante. Stéphane reconnaît là un ancien collègue qui leur fait le tour du propriétaire de la vénérable grand-mère accompagné de ahhhhh, ohhhhh, ouhhhhh… Non ça c’est Claude qui a laissé sa main alors qu’on refermait la portière. Chapeau bas pour la restauration.

Une Traction comme neuve

Bon mais on n’est pas venu là pour admirer les vieilles mécaniques, car au bout de la rue du Vannet il y a… la descente. Vidange obligatoire pour certains et puis gaz. Premier freinage Gaël zigzague de manière pas très orthodoxe et Aurélien se dit qu’il sera mieux devant. Bruno essaye de passer mais Gaël lui ferme la porte du coup il en profite pour doubler les 2 en prenant une alternative. On a l’habitude.

Le trio fonce et avale tout sur son passage, les pierres volent, les oiseaux cessent de chanter, les animaux se terrent, la terre même se fige. Derrière, on est beaucoup plus pragmatique, et arriver est déjà un bel objectif, qui plus est atteint de fort belle manière.

Bruno commence à parler horaire, il est à peine 10h30, mais la tentation est trop grande de suivre Gaël alors… direction Roche les Blamont. Dans la montée certains posent le pied à terre, Aurélien lui pose les fesses. Chacun son style.

Roche, les voilà. Stéphane tente une confrontation avec Aurélien, mais il va encore falloir y travailler. Mais Roche n’est pas l’objectif. L’objectif le voilà qui approche, tant désiré depuis si longtemps, réclamé par les habitant.es: Thulay. Ah, Thulay! Tant de souvenirs: des chutes, des fractures, des rigolades, des arsouilles. On y ajoutera une piqûre d’abeille à la tête pour Aurélien (l’abeille de Bruno?). Et surtout un ravito digne des meilleures rando gastronomiques. Gaël est encensé par tous ses camarades pour avoir organisé un si copieux ravitaillement dans les bois, mais il tombe vite de son estrade quand ils découvrent qu’en fait c’est une rando pédestre qui passe par là.

Ils font un petit détour pour éviter les marcheurs et … gaz. Pour les plus téméraires les arbres défilent à vive allure et mieux vaut qu’aucun animal ne traverse car sinon à midi il y aura du civet.

Ils remontent par la ferme des minimes, puis à l’approche de Vandoncourt, Gaël propose le Pont Sarrazin. Bruno s’excuse il doit partir, mais Claude le qualifiant de « petit zizi », Bruno n’y résiste pas et grimpe, regardant anxieusement sa montre.

Seulement, on sait que quand Bruno est pressé, les autres tirent la langue. Cette fois encore il arrive en-tête ainsi qu’à Montbouton. Au pied du Grammont il se dit qu’il est sauvé, qu’il va pouvoir rentrer, mais… pas de chance, Aurélien et Gaël veulent à tout prix emprunter le single de la coupe de BFC. Après une autre remise en cause de sa virilité, il remonte tout le monde et s’empresse de parcourir le single.

Dans la descente ça cafouille un peu, le groupe se disloque mais se retrouve finalement au parking, le sourire aux lèvres.

41km / 990m d+ depuis Beaucourt, terrain exceptionnel, 5 à 20° soleil nuages.

Trace: https://drive.google.com/file/d/1LhxXs2bdznWjjvEHXKlyL66WMw3UF23b/view?usp=sharing

20/03: le retour du printemps… et des vttistes

Aujourd’hui, c’est le printemps! Est-ce le changement de saison qui a attiré autant de vttistes? Bruno, Xavier, Franck, Aurélien, Pat’, Christophe, Mickaël, Dorian, Francis L., Gaël et dans le costume du retardataire : Cédric.

Direction Saint Dizier pour un petit échauffement, puis ils empruntent à l’envers le sentier du « KOM à Dorian », qui cette fois lui appartient. A force d’essais, il a réussi à s’imposer. Au-dessus, certains sont déjà en surchauffe: le déshabillage commence.

Pour fêter la reprise, sur la route de la carrière ils contournent le raidar vers Saint Dizier, histoire de ne pas tuer tous les revenants. Mais c’est qu’ils ont l’air sacrément bien entrainés!

Pour tester leur souffle, direction le Val, puis le petit sentier bien raide de la MTB 2021. Celui-là fait bien mal et tout le monde s’accroche en serrant les poignées. Personne ne lâche.

Dorian opte ensuite pour le sentier qui redescend vers Lebetain en prévenant de faire bien attention au petit sentier à droite… que Francis et lui, lancés comme des boulets, ratent…
Ils font un peu de jardinage sur le sentier pour éviter les arbres au sol, et rejoignent le single vers Boncourt avec un plaisir non dissimulé: celui de lâcher les freins.

Ca envoie du bois, parfois trop, tel Aurélien qui glisse des 2 roues en même temps et se fait une frayeur. Le partie après l’autoroute étant toujours bloquée, ils coupent par le bas, certains « dré dans l’pentu ».

Boncourt, les voilà! Direction le mont Renaud. première vraie longue ascension. Les concurrents dévoilent leur jeu et déjà des écarts se font. En tête caracolent Dorian et Francis, Aurélien, Bruno puis Christophe. Qui a parlé de reprise?

Au-dessus, séance photo, re-séance déshabillage, pause goûter, car ils ont déjà grimpé 400m. Après c’est que du bonheur: un long sentier au profil légèrement descendant, tout juste interrompu par 2-3 arbres couchés.

A Courcelles, ils saluent Mme Biquette, toujours perchée sur sa planche à ressort et attaquent la 2ème longue grimpette, vers Notre Dame du Mont. Arrivé sur place, c’est la déconfiture quand ils apprennent qu’ils doivent faire 1/2 tour pour rentrer. Tant d’efforts pour ça!

Ils repassent à Courcelles, prennent un autre itinéraire direction le Mont Renaud et gaz dans la descente. Delle les voilà! Enfin pas si vite. C’est d’abord Christophe qui loupe la bifurcation qui mène route de Faverois, puis Francis qui loupe l’arbre dans les herbes en revenant sur le château d’eau. Le tronc ne loupe pas lui et Francis fait un bel OTB! Quelques douleurs plus tard, il redresse ce qui doit l’être sur sa monture et repart un peu grogui.

Retour par la passerelle puis la caserne des pompiers. Sur le sentier Dorian les quitte, décidé à jouer la cible pour le tir au canard. Au-dessus de Feches ce sont Xavier, Cédric et Pat qui coupent. Les autres prennent le sentier des bornes direction l’autre Fesches.

C’est bien assez et il est déjà midi passé, retour par la piste cyclable. Sacré belle reprise, qui augure de belles sorties à venir!

43km, 930m depuis Beaucourt.

T+ 6 à 12° sous un beau soleil.
Sol légèrement humide à cause de l’averse matinale, mais s’asséchant.
Pas de panne, 1 chute.

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